MINISTÈEE DES MIIJES commission g^kologhqxjeî dxj A. P. LOW, LL. D., DÉPUTÉ-MINISTRE ET DIRECTEUR. EAPPOET SUB LA GEOLOGIE ET LES RICHESSES NATURELLES DE LA RÉGION COMPRISE DANS LE QUART DE FEUILLE NORD-OUEST, W 122, DE LA SÉKIE OETAEIO ET QUÉBEC EMBRASSANT DES PORTIONS DES COMTÉS DE PONTIAC, CARLETON ET RENFREW FAB K. W. ELLS. OTTAWA IMPRIMÉ PAR S. E. DAWSON, IMPRIMEUR DE SA TRÈS EXCELLENTE MAJESTÉ LE ROL 1907 N 998 Mflp MimSTEEE DES MINES .,. .,^ coMiMiissioisr &e dxj Canada ^ BlBLIOTIHèQUES ^ A. P. LOW, DÉPUTÉ-MINISTRE ET DIRECTEUR. EAPPOET SUR LA '''rjity o O^^ GÉOLOGIE ET LES RICHESSES NATURELLES DE LA RÉGION COMPRISE DANS LE QUART DE FEUILLE NORD-OUEST, N" 122, DE LA SÉELE ONTARIO ET QUÉBEC EMBRASSANT DES PORTIONS DES COMTÉS DE PONTIAC, CARLETON ET RENFREW PAR . • R. W. ELLS. OTTAWA IMPRIMÉ PAR S. E. DAWSON, IMPRIMEUR DE SA TRÈS EXCELLENTE MAJESTÉ LE ROI. 1907 N» 998 université d'Ottawa Cartotheque JUN 6 1985 University of Ottsv. Map Lihn-' 1^999 l%7 M. A. P. Low, Directeur de la Commission géologique du Canada. Monsieur, — J'ai l'honneur de vous soumettre ci-joint un rapport sur la géologie et les richesses naturelles de la région comprise dans le quart de feuille nord-ouest, n° 122, de la série Ontario et Québec. Cette carte embrasse des portions du comté de Pontiac, dans la province de Québec, et des comtés de Renfrew et de Carleton, dans la province d'Ontario. Les listes de fossiles qui accompagnent ce rapport ont trait à des collections réunies à diverses époques par différents membres de la Commission géologique et qui ont été examinées et classifiées par M. le Dr H. M. Ami. J'ai l'honneur d'être, monsieur, Votre obéissant serviteur, R. W. ELLS. Commission géologique Mai 1906. TABLE DES MATIERES. Page. Notes sur les cours d'eau de la région 1 Formations de la région 5 Roches 5-32 Formation • paléozoiques 32-38 Potsdam et Calcifère 32 Chazy ' , 34 Black River et Trenton n . 36 Rivière Coulonge 8-1 1 Rivière Noire 11-14 Rivière Ottawa 14-24 Ile du Calumet 17 Ile aux Allumettes 19 Région au nord de l'Ottawa 24 Région au sud de l'Ottawa 26 Rivière Bonnechère 28 Fossiles classifies par M. Lambe 38-41 Fossiles classifies par M. Ami 55-78 Géologie de surface 41-43 Géologie industrielle 43-52 Fer 43 Galène et blende 45 Mica 46-49 Divers 49-52 Digitized by the Internet Archive in 2012 with funding from . University of Toronto RAPPORT SUR LA GÉOLOGIE ET LES RICHESSES NATURELLES DE LA RÉGION COMPRISE DANS LE • QUART DE FEUILLE NORD-OUEST, N° 122, DE LA SÉRIE ONTARIO ET QUÉBEC EMBRASSANT DES PORTIONS DES COMTES DE PONTIAC, QUEBEC, ET DE CARLETON ET RENFREW, ONTARIO. Par R. W. ELLS. INTRODUCTION. La carte dont traite ce rapport porte le numéro officiel 122 et s'appelle " Feuille de Pembroke." Elle correspond à l'ouest de la feuille 121 à laquelle elle se rattache et qui est désignée sous le nom de *' Feuillle de Grenville " ; la région qu'elle embrasse mesure 3,456 milles carrés. La limite orientale de la carte n'est pas très éloignée de la rivière Gatineau qui coule au nord de la ville d'Ottawa, et la partie sud-ouest est traversée par la rivière > ttawa, depuis un point situé à trente milles à l'ouest de Pembroke jusqu'à dix milles de la ville de Hull. EMPLACEMENT DES COURS D'EAU. La région au nord de l'Ottawa est entrecoupée de plusieurs grands Cours d'eau. En plus de la Gatineau qui traverse la lisière orientale de la carte en venant de la limite septentrionale des townships de North- field et de Wright, il y a plusieurs grands affluents de cette rivière qui viennent de l'ouest. Les principaux sont la Pickanok qui prend nais- sance dans de grands lacs, parmi lesquels, ceux de Dumont, et de la Sauvagesse, ^Squaw lake, dans la région non arpentée au nord des townships de Huddersfield et Clapham, sont les plus importants. Ce cours d'eau £e jette dans la Gatineau au centre du township de Wright, à soixante milles environ au nord de la ville d'Ottawa. Plus au sud, d'autres affluents importants sont la Kazabazua, Stag creek et la rivière à la Pêche, cette dernière se jette dans la Gatineau près du village de Wakefield. 7262—1 Z COMMISSION GEOLOGIQUE Dans la partie occidentale de la région embrassée par la carte, on trouve la rivière Coulonge et la rivière Noire, deux grands cours d'eau qui viennent du nord. La première se jette dans l'Ottawa au village de Fort Coulonge, dans le township de Mansfield, à trois milles en amont de la tête de l'île du Calumet et la dernière a son confluent dans le chenal septentrional de TOttawa ou chenal de la Culbute, près de l'extrémité inférieure de l'île aux Allumettes, dans le township de Wal- tham, neuf milles environ à l'ouest de l'embouchure de la Coulonge. La région de la rive méridionale de l'Ottawa, est aussi entrecoupée par plusieurs cours d'eau importants. Le plus grand est la Petawawa qui prend naissance près des sources de la rivière Muskoka et coule au nord-est jusqu'à ce qu'elle se jette dans l'Ottawa à neuf milles environ à l'ouest de la ville de Pembroke. Cette rivière a la réputation d'être, sur une grande partie de son parcours, agitée et diflScile à passer en canot. Cependant le relevé en a été faic en 1853 par M. Alexandre Murray de la Commission géologique qui rapporte que le pays traversé est d'une nature généralement granitique sur la plus grande partie du cours de la rivière. Parmi les autres cours d'eau qui se jettent dans l'Ottawa en venant du sud et qui sont contenus dans la région qu'embrasse la carte, on remarque la rivière aux Indiens et la rivière Muquash, dont le con- fluent est à la ville de Pembroke et la rivière Bonnechère, un grand cours d'eau qui atteint l'Ottawa en un endroit du lac des Chats situé à douze milles à l'ouest de la ville d'Arnprior. La Madawaska, une autre rivière importante qui se jette dans l'Ottawa en ce dernier endroit, figure au sud de la carte en question. La région au nord de l'Ottawa, à l'exception d'une zone de town- ships, dans le voisinage plus direct de la Gatineau et de ceux qui tou- chent à l'Ottawa lui-même, à l'est de la rivière Noire, n'a encore presquo pas été ouverte à la colonisation. A l'ouest de la rivière Noire, des routes longent la rive nord de l'Ottawa, jusqu'à une baie profonde située à l'extrémité inférieure de ce qu'on appelle la rivière Profonde Deep river en face de High View, qui se trouve au tournant brusque que l'on rencontre à vingt milles en amont de la ville de Pembroke Des chemins d'exploitation se dirigent aussi au nord presque jusqu'en arrière du township de Sheen, mais une grande partie de la région n'est pas encore ouverte. Entre les rivières Noire et Coulonge, plusieurs chemin* de colonisation ont été construits sur une distance de 8 à 10 milles, et les routes de portage se continuent le long de ces cours d'eau plusieurs milles plus loin. Dans tous ces townships, les routes FEUILLE DE PEMBROKE Ô usuelles sont toutes dans la vicinité d'Ottawa. Plus loin le pays est généralement accidenté et virtuellement inaccessible, sauf en employant les chemins déjà cités. A l'est de la Coulonge, le pays est assez bien défriché en remontant au nord jusqu'à l'entrée du lac à la Loutre Otter lake sur la rivière Pickanock, d'où un chemin de chantier ou de portage se dirige au nord- ouest pour atteindre le lac de la Sauvagesse Squaw lake, puis, le cours supét ieur de la rivière Coulonge. Au sud de l'Ottawa, la région entre cette rivière et la Bonneclière est beaucoup moins accidentée et l'on trouve beaucoup d'établissements prospères. Il y a là de grands affleurements des calcaires des diverses formations paléozoïques, dont la dégradation donne généralement un sol très favorable à l'agriculture et les caldaires cristallins sont très développés, relativement à la région au nord de l'Ottawa. Cette portion de la carte est aussi traversée par quelques lignes de chemins de fer, parmi lesquelles le chemin de fer Canadien du Pacifique allant d'Ottawa vers l'ouest, le chemin de fer du Grand-Tronc et le Pembroke Southern qui part de Pembroke pour aller rejoindre le Grand-Tronc à Golden lake. Sur là rive nord de l'Ottawa le seul che- min de fer actuellement construit, en plus de la ligne qui remonte la rivière Gatineau, est l'embranchement de Waltham du C. P. R. qui aboutit maintenant près de l'embouchure de la rivière Noire. L'embran- chement de Maniwaki du C. P. R., se dirige vers le nord, en serrant de près, sur la plus grande partie de son parcours, la rivière Gatineau. Ce chemin de fer pendant plusie rs années aboutissait au village de Grace- field, un mille environ en amont du confluent de la rivière Pickanock, mais il est maintenant achevé jusqu'à Maniwaki, à l'embouchure de la rivière du Désert. L'aire comprise dans la carte n° 122, présente des particularités géologiques un peu différentes de celles qu'on remarque dans la carte adjacente à l'est. Dans la partie voisine de la rivière Gati- neau, il y a un développement des calcaires cristallins appartenant à la formation de Grenville ou d'Hastings beaucoup plus considérable que dans la moitié occidentale de l'aire. Cette étendue de roches, tout en étant souvent interrompue par des massifs de granite et des affleu- rements fortuits de gneiss gris, a une largeur, de l'est à l'ouest, d'environ quinze milles et se prolonge au nord bien au delà des limites de la carte. Sa répartition dans cette direction, le long de la rivière Gatineau et de 7262—11 4 COMMISSION GEOLOGIQUE ses affluents a déjà été décrite succinctement dans le rapport sur la carte 121. La format on est en grande partie de nature granitique, à l'ouest des roches calcaires. Ces granites sont souvent très feuilletés, bien que fréquemment aussi, cette particularité fasse défaut. Le long de la rivière Coulonge, jusqu'au point le plus septentrional atteint dans l'examen de ce cours d'eau, c'est-à-dire jusqu'à soix inte-dix milles envi- ron de son confluent avec l'Ottawa, mesurés au cours de l'eau, on voit de grandes étendues de gneiss grisâtre et gris-rougeâtre. Ces gneiss sont associés à descouches de calcaire cristallin et de quartzite et ressemblent à cet égard aux roches caractéristiques de la formation de Grenville. De grandes portions de cette région sont couvertes de puissantes couches de sable. On voit rarement le calcaire et le quartzite à l'ouest de l'em- bouchure de la rivière Noire. Au sud de l'Ottawa, on rencontre de grands affleurements ou décou- verts de roches paléozoiques, principalement du calcaire de la formation Black River; tandis que la partie 03cidentale de cette région, spéciale- ment les townships d'Alice, Fraser, Petawawa et Buchanan, est occupée dans une grande mesure par d'épais dépôts d'argile et de sable. De grandes étendues de schistes cristallins existent avec le calcaire cristallin et les gneiss associés que l'on trouve dans la région au sud de l'Ottawa. La présence de dolomie, décomposée par l'action de l'air, rouilleuse et jaunâtre, avec souvent des nids irréguliers de quartz, est un des traits marquants des roches de cette région. Les schistes et la dolomie. ont un grand déploiement le long de la ligne du chemin de fer de Kingston à Pembroke et constituent le prolongement septentrional des grands massifs de ces roches que l'on trouve dans les comtés de Frontenac et de Hastings. Les premiers travaux géologiques se rapportant à cette région datent de 1852-53, et ont été exécutés par M. Alexandre Murray, alors aide- directeur de la Commission géologique. Au cours de cette dernière année, M. Murray fit un certain nombre de mesurages et de levés des rivières les plus importantes dans la région au sud de l'Ottawa ; ces levés embrassaient la Petawawa, depuis sa source près du cours supé- rieur de la Madawaska jusqu'à son confluent avec l'Ottawa, en amont de Pembroke ; et la Bonnechère depuis l'Ottawa jusqu'au lac Rond qu est quelques milles à l'ouest de Golden lake sur le chemin de fer du Grand-Tronc. Du lac Rond un mesurage fut fait en ligne droite jus- qu'aux eaux de la Madawaska qui fut atteinte en un point appelé la baie de Barry. Les particularités géologique de la région avoisinant ces rivières furent alors notées avec soin sur la carte. En 1^53, M. James Richardson fit une série de levés dans la région de Pembroke, y compris l'île aux Allumettes, et continua son travail FEUILLE DE PEMBROKE Ô vers l'est en relevant par cheminement la route de Pembroke à la cité d'Ottawa. Plus tard, en 1876, M. L. R. Ord, et M. H. G. 7ennor, qui travaillait avec lui, se livrèrent à des travaux dans cette région, faisant au nord de l'Ottawa le relevé de la plupart des routes entre la rivière Coulonge et la Gatineau et au sud de la rivière, le relevé de certaines portions des townships de Westmeath, Ross et Horton. Dans son rapport de 1876, M. Vennor décrit les traits géologiques remarqués le long de l'Ottawa, depuis la ville d'Arnprior, jusqu'au confluent de la rivière Mattawa à l'ouest. La répartition du calcaire cristallin dans la portion orientale du comté de Renfrew est aussi in- diquée et les relations de celui ci avec les calcaires similaires du nord de l'Ottawa est clairement signalée, tous deux étant considérés comme des formations équivalentes. Sur ce principe, l'auteur démontre que, les roches décrites dans les rapports antérieurs sous le nom de " Forma- tion de Gren ville " appartiennent au même horizon que celles signalées dans l'étendue au sud de l'Ottawa et auxquelles M. Vennor a donné le nom de " Formation d'Hastings ". Cette assertion faite par M. Vennor, il y a près de trente ans, a été dans une grande mesure con- firmée par les travaux de détail exécutés depuis dix ans, dans ce district à l'ouest et à l'est. M. Vennor a apporté aussi une grande attention à l'étude des minéraux industriels de la région, sur- tout aux gisements de fer, de mica, de graphite et d'apatite ou phos- phate. On trouvera dans le rapport précédent sur la carte de Perth, les relations des différentes divisions des roches cristallines de l'est d'Ontario. Les différentes formations de roches que l'on rencontre dans l'éten- due embrassée par la carte n° 122 sont les suivantes — Formations paléozoiques. Calcaire de Trenton. Calcaire de Black River. Calcaires et argiles schisteuses de Chazy. Dolomie calcifère. Grès de Potsdam. Roches cristallines^ comprenant Granite et gneiss granitique. Gneiss, quartzite et calcaire de la formation de Grenville. Anorthosite et autres roches ignées. Sédiments post-pliocènes. 6 COMMISSION GÉOLOGIQUE Comme les roches cristallines constituent le trait pjéologique le plus important de l'étendue en question, nous donnerons d'abord leur des- cription, LES ROCHES CRISTALLINES. Au point de vue du caractère général, les roches cristallines de la région du nord de l'Ottawa et de l'ouest de la Gatineau ressemblent intimement à celles qui ont été déjà décrites dans le rapport précédent relatif à la région à l'est de cette rivière. Au bas de la formation on trouve un gneiss-granitique rougeâtre ou gris rougeâtre qui est généra- lement feuilleté, mais en certains endroits ce feuilletage n'existe pas et la roche devient massive. Elle ressemble à beaucoup des roches trou- vées dans les plus grandes étendues qui séparent les zones principales de calcaire dans la région de Grenville ; et, bien que, en certains en- droits, ces roches granitiques coupent les calcaires et les gneiss associés de la formation de Grenville, sur d'autres espaces considérables, elles paraissent être surmontées par ceux-ci. Au-dessus de ces sjneiss granitiques il y a les gneiss ordinaires gris rougeâtre et gris qui sont souvent grenatifère^. Ils contiennent aussi en différents endroits des bandes apparemment interstratifiées d'am- phibolite, et dans leur portion supérieure renferment quelquefois une épaisseur considérable de quartzite blanche qui, généralement, supporte le calcaire cristallin. L'étendue principalQ de calcaire à l'ouest de la rivière Gatineau se termine à dix ou douze milles environ de ce cours d'eau. Plus loin, à l'ouest, les roches sont principalement de l'espèce gneissique, en certains endroits de l'espèce granitique ; mais on n'aperçoit le calcaire que rare- ment et en bandes minces. L'endroit le plus occidental où l'élément calcaire de la formation ait été signalé le long de l'Ottawa se trouve à deux milles environ au delà du confluent de la rivière Noire. Plus loin jusqu'à l'extrémité occidentale de la carte, on n'a pas trouvé de cal- caire, sauf en un certain endroit, sur la rive nord de cette partie de l'Ottawa appelée Deep River, entre High View et des Joachims, où une petite bande irrégulière paraît avoir été prise dans un massif de granite irruptif et avoir subi de grandes contorsions. Des portions de ce granite, dans l'étendue occidentale sont d'une date indubitable- ment plus récente que les calcaires et les gneiss associés. Cette particularité se constate très bien le long de l'Ottawa près du village de Portage du Fort, à Bryson, et en plusieurs endroits dans la partie orientale de l'île du Calumet. Là, h s bandes de calcaire sont souvent brusquement interceptées quelquefois par du granite et quelquefois par des roches d'anorthosite, et on trouve aussi de gros massifs d'une FEUILLE DE PEMBROKE 7 diorite foncée. Le massif granitique occupe une grande partie des townships de Clarendon, Litchfield, Leslie et Thorne, et continue en formant une zone large jusqu'à la rivière du Désert où sa présence a déjà été signalée dan*» un rapport antérieur 1898. Un mesurage a été fait des rivières Noire et Coulonge depuis leur confluent avec l'Ottawa jusqu'à so xante-dix milles au nord. Sur ces deux cours d'eau, on a reconnu l'existence de gneiss et de calcaire cris- tallin de formation de Grenville. Sur la rivière Noire on a observé par intervalles du calcaire jusqu'à trente milles au nord du confluent, Spécialement le long d'une chaîne de lacs, dans le township de Bryson appelée la route du Portage du lac Vert {Green Lake portage route qui sert à passer une portion agitée de la rivière. L'allure ordinaire des roches dans cette région, est dirigée vers le N. O. et suit généralement le cours de la rivière. La partie supérieure de la rivière Noire est occupée, jusqu'au point où se sont rendues nos mesurages, par la portion granitique de la formation. Le long de la rivière Coulonge, le gneiss de la formation de Gren- ville est associé à de la quartzite et à du calcaire. Le gneiss est quel- quefois très bien stratifié et dans les escarpements qui dominent quel- ques-uns des lacs, principalement le lac de Bryson, les aftieurements ressemblent beaucoup à des massifs bien stratifiés de grès de Potsdam. A cet égard les roches rappellent beaucoup quelques-uns des gneiss que l'on trouve dans la partie supérieure de la rivière de la Nation du Nord North Nation river dans la région de Grenville. Le long de la rive nord de Deep River section de l'Ottawa cer- taines portions de la formation gneissique sont bien fasciées et le plon- gement est à angle droit, quelquefois dirigé vers l'est ; mais en d'autres endroits elles vont vers l'ouest ce qui dénote une structure anticlinale. Le même fait caractéristique se remarque dans les roches qui sont à découvert sur la rive sud de la rivière, . bien que les afîîeurements soient beaucoup moins nombreux à cause de l'existence des dépôts de sables qui régnent sur une grande partie de l'étendue dans cette direc- tion. Par places, particulièrement du côté des rapides des Joachims, les roches sont plus massives. Dans l'étendue comprise entre les calcaires de la zone de la rivière Gatineau et les affleurements des roches analogues le long de la rivière Coulonge, il paraît y avoir dans l'allure des gneiss une divergence mar- quée qui se continue sur une grande distance. Ainsi, dans la première de ces divisions, l'allure du gneiss et des calcaires associés varie de N. 50° E., à N. 10" E. et le long de la dernière de ces rivières, l'allure générale va de vingt à trente degrés nord-ouest. La cause de cette O COMMISSION GEOLOGIQUE divergence paraît être l'existence d'une grande étendue de granite et de gneiss granitique, qui est considérablement développée dans la région à l'est de la riv ère Coulonge et qui se prolonge en traversant le cours supérieur de la Pickanock. L'attitude étrange de certaines portions de ce massif se constate facilement à la terminaison abrupte des bandes de calcaire et des gneiss associés en un grand nombre d'endroits. Cette divergence dans l'allure du gneiss et du calcaire pro- duite par des massifs de granite se remarque aussi très bien dans d'autres endroits de l'étendue de la carte de Grenville, ainsi que dans l'aire au sud de celle-ci. RIVIÈRE COULONGE. La rivière Coulonge a une longueur d'environ 150 milles. Elle se jette dans l'Ottawa près du village de Fort Coulonge, dans le township de Mansfield à trois milles environ à l'ouest de la pointe de l'île du Calumet. Le courant est souvent rapide et le cours de l'eau est inter- rompu en beaucoup d'endroits par de forts rapides et des chutes qui en rendent la montée en canot difficile. Pour remonter la rivière, on pro- fite généralement d'une chaîne de lacs située le long de la rive occiden- tale et qui se prolonge vers le nord sur une distance d'environ trente milles ; ou bien, on peut, en faisant plusieurs portages et en prenant la route du lac et du creek Bryson, atteindre le cours d'eau principal à soixante-douze milles à peu près de son embouchure, c'est à dire à un mille et demi au nord du confluent de la rivière de la Corneille {Crow river un affluent de l'est. Passé cet endroit la montée de la Cou- longe s'exécute beaucoup plus facilement. Le long de cette partie du cours d'eau, sur un mille et demi des deux côtés de la rivière de la Corneille, le gneiss gris associé à des bandes de calcaire cristallin est la roche prédominante. Le gneiss est quelquefois rouilleux et en certains endroits associé à des bandes noires, probable- ment une amphibolite dont l'allure est N. 20° O. et le plongement N. 70° E. 15° — 20^ Les calcaires apparaissent souvent en aval, notam- ment à une petite courbe, deux milles à peu près en amont de la pre- mière chute, qui se trouve entre les bornes milliaires Nos. 64 et 65. La chute a sept pieds environ de hauteur et tombe sur du gneiss foncé araphibolique associé à du gneiss rougeâtre et gris, dont l'allure et le plon- gement sont justement ceux qui ont été indiqués plus haut ; d'ailleurs cela paraît être en générai l'allure et le plongement des roches de cette partie du pays. Le portage par lequel on passe la chute a un quart de mille de longeur, et se trouve sur la berge occidentale de la rivière; les FEUILLE DE PEMBROKE 9 gneiss et le calcaire sont là brusquement interceptés par un massif de granite rouge. On voit dans le calcaire une bande de conglomérat, à peu de distance en amont des chutes ; les galets consistent en gneiss rouge et gris, bien arrondis et piqués dans le calcaire à toutes sortes d'angles. Il existe une ressemblance très marquée entre ces galets et les roches de la formation de Grenville ainsi que celles de la formation de Hastings qu'on voit le long de la rivière Mississippi. Auprès de cette chute se dresse sur le coté ouest de la rivière une montagne de granite escarpée; mais, en aval, jusqu'à la chute au Diable [Devil chuté, environ douze milles plus ba^, les rives sont généralement basses et consistent la plupart du temps en sable et en gravier. Quelque- fois apparaissent des affleurements du gneiss ordinaire avec un plonge- ment de N. 80° E e très bonne coupe de toute la partie méridionale de la carte. Dans la portion qui s'étend de la ville d'Ottawa aux chutes des Chats, les formations paléozoïques, comprenant le Potsdam, le Calcifère et le Chazy sont bien à découvert surtout sur le côté sud ou côté d'Ontario. Sur le côté nord, le Chazy et le Calcifère se prolongent vers l'ouest jusqu'à l'embouchure du creek Breckenridge] où le granite et le gneiss atteignent la rive et se 16 COMMISSION GÉOLOGIQUE prolongent en remontant la rivière jusqu'à un mille environ du village de Quio. Là les dolomies de la formation Calcifère se montrent de nouveau et reposent sur les surfaces rongées des roches granitiques recouvertes par les argiles schisteuses gris verdâtre et les grès de Chazy dans le village même. Au nord, sur la berge de la rivière Quio, en arrière du village, on rencontre le grès de Postdam et il est possible qu'une faille coupe cette région et réduise de beaucoup l'étendue du Calcifère. On revoit les dolomies en un affleuremenet très restreint au pied de la chute des Chats sur la rive nord de la rivière, au village du Vieux Pontiac ; mais le grès de Postdam n'existe pas en cet endroit. Lorsque l'on a passé la chute et les rapides des Chats qui sont causés par une barrière de calcaire cristallin, très entrecoupé de dykes de granite, les affleurements de gneiss, de schistes de différente nature, de diorite et de granite rouge se montrent de nouveau le long de la rive nord. A la route qui mène au bateau traversier reliant les raines de Bristol à Braeside, la dolomie calcifère se présente en lambeaux irréguliers sur des roches cristallines et forme une lisière étroite le long de la rive et allant à l'ouest jusque près de la baie de Norvège {Norway hay. En amont, une autre pointe, en aval du quai de Bristol, est formée de granite et de gneiss avec un peu de calcaire. On voit fréquemment du calcaire cristallin dans la direction de l'ouest jusqu'au village de Portage-du-Fort ; il est interstratifié en certains endroits avec des bandes de gneiss grisâtre et quelquefois, avec des massifs de granite et d'anorthosite. De grandes portions de la rive nord sont occupées par de puissants amas de sables rouges ; ces amas prennent un grand développement dans les townships de Bristol et de Clarendon situés au nord de cette partie de l'Ottawa ; on voit aussi quelquefois des massifs de granite rouge avec de petites bandes de calcaire cristallin. Dans la partie septentrionale du township de Clarendon, il existe une grande étendue de granite, sans feuilletage en certains endroits, qui surgit à l'est de l'Ottawa, à peu de distance en aval du village de Bryson et qui se prolonge au nord dans les townships de Thorne et de Leslie. La largeur de ce grand massif est d'environ dix milles de l'est à l'ouest. Le long de la portion de l'Ottawa qui va du Portage-du-Fort à Bryson les roches sont en grande partie calcaires. En certains en- droits le calcaire forme un marbre d'excellente qualité, qui a été ex- ploité. Quelques-unes des colonnes qui décorent les édifices du Parle- ment d'Ottawa ont été extraites des carrières exploitées près du pre- mier de ces villages. Une autre carrière a été ouverte depuis six ans FEUILLE DE PEMBROKE 17 environ près de la route de Bryson, à un mille et demi environ au nord du village du Portage. On rencontre aussi de petits lambeaux de dolomie calcifère le long de la route qui tourne à Test, à deux railles environ au nord du village ; la roche repose sur la surface rongée du calcaire cristallin. ILE DU CALUMET. La rivière Ottawa, entre le Portage et Bryson est très agitée et in- terrompue par de nombreux et forts rapides, avec des chutes. Ces dé- nivellations sont dues à des dykes et à des massifs de granite qui ont pénétré dans le calcaire et l'ont tordu en toute direction. Il existe aussi des massifs de pierres vertes ou diorites et par place, la roche devient serpentineuse et l'on trouve de petits filons de chrysotile Cette particularité se constate facilement aux Grandes Chutes du Calumet, un demi-mille environ en aval du village de Bryson, et aussi dans une falaise de calcaire à l'extrémité occidentale du pont de rOttawa qui permet de traverser à l'île du Calumet. L'extrémité orientale de cette île est en grande partie occupée par du granite et de la diorite. Le long de la portion que borde la rivière Ottawa et qui va des rives du lac de la Roche Fendue à Bryson, on trouve une bande irrégulière de calcaire cristallin, très traversée et imprégnée de dykes de granite dont quelques-uns ont de fortes dimen- sions. Le massif de granite coupe le chenal de la Roche Fendue et pénètre dans le township de Westmeath, à l'ouest, à l'intérieur de l'île jusque près de la ligne qui sépare le lot 1, rang VII du lot 22, rang III où l'on revoit les bancs de calcaire et de gneiss gris. L'extrémité orientale de l'île, laisse voir aussi, en plus du granite, de gros massifs de diorite ou gneiss dans lesquels on rencontre des nids de galène et de blende de zinc et qui ont été exploités irrégulièrement depuis quelques années. La partie occidentale de l'île consiste en grandes plaines de sable, avec du pin de faible venue, et les roches à découvert sont du gneiss grisâtre avec quelquefois, de minces bandes de calcaire. A l'extrémité sud-ouest, on trouve des argiles schisteuses verdâtres de Chazy supportées par la dolomie calcifère. . Ceci se trouve dans l'aire qui fait face à l'endroit nommé La Passe sur la rive ontarienne de la rivière, La dolomie et les argiles schisteuses sus-jacentes reposent sur le gneiss et le granite à l'extrémité occidentale de l'île. Elles forment dans cette direction les couches inférieures du bassin paléozoïque dont les roches occupent presque toute la surface occidentale de l'île aux Allumettes ainsi que des portions considérables des townships de Pembroke, Stafford et Westmeath, sur la rive sud de l'Ottawa. 7262—2 18 COMMISSION GÉOLOGIQUE Le chenal qui contourne le côté nord de l'île Calumet est taillé dans le sable sur presque toute la distance de La Passe à Bryson. Des col- lines de granite s'élèvent du côté sud du chenal en face de la baie de Campbell et l'existence de roches granitiques analogues est aussi une des particularités de la rive septentrionale de la rivière dans le town- ship de Litchfield. Ces granites sont généralement feuilletés et en certains endroits, il y a des aires de gneiss et de calcaire de Grenville. Cette zone de gneiss granitique se prolonge par le travers jusqu'au cours supérieur de la Pickanock et est bien en vue à l'ouest du lac à la Loutre Otter lake dans les townships de Huddersfield et de Clapham et sur les bords du lac Dumond, plus au nord. Entre la tête de l'île du Calumet et le pied de l'île aux Allumettes, les rives sont en général basses et composées surtout de sable et d'ar- gile. En amont de l'embouchure de la rivière Coulonge à la Pointe Sèche, sur le côté nord de l'Ottawa, on voit, bien a découvert, des bancs de calcaire de Black River gisant à plat et dans lesquels on a trouvé des fossiles caractéristiques de cette formation. Si l'on traverse une baie assez profonde, sur la rive nord de la rivière en amont de cet en- droit, on voit apparaître du côté ouest des bancs de calcaire de Trenton, supportés par des calcaires de l'époque de Black River. Ceux-ci reposent à leur tour sur le versant occidental d'une colline de gneiss et de calcaire très fracturés et entrecoupés de massifs de granite rouge. Les" couches inférieures de la formation Black River sont en cet endroit dolomitiques et l'on avait d'abord supposé qu'elles appartenaient à la formation Calcifère mais la découverte d'une quantité de Columnaria halli et de Tetradium fibratum avec d'autres espèces caractéristiques nous a permis de déterminer leur position exacte. Les couches du bas sont inclinées contre les roches cristallines à un angle de près de cinquante degrés et sont un peu décomposées. L'endroit en question est à quelques centaines de verges à l'est du lieu nommé l'Estacade {The Boom. En remontant ensuite la rivière jusqu'au pied de l'île aux Allumettes les berges sont généralement basses et sablonneuses et l'on ne voit pas de bancs rocheux. Le long de la, rive sud, cependant les morceaux de calcaire de Black River sont fréquents et il y a des crêtes basses Composées en grandes partie de ces roches, si bien qu'il est probable que la formation s'étend dans cette direction sur une grande partie du township de Westmeath. Du côté nord de l'Ottawa on peut voir à une courte distance dans l'intérieur des terres des gneiss et des granites FEUILLE DE PEMBROKE 19 avec quelques bandes de calcaire cristallin, qui surgissent à travers les alluvions de sable où ils forment le bord méridional du grand massif archéen. Au rapide de Paquette qui se trouve dans la portion inférieure du chenal de Pembroke, près de l'extrémité inférieure de l'île aux Allu- mettes, le cours d'eau est traversé par de grands bancs de cal'-aire de Black River. Ces bancs abondent en fossiles bien conservés dont il a été recueilli, par les soins de la Commission Géologique, des collections considérables et caractéristiques. La formation de Black River paraît occuper une portion considérable de la moitié occidentale de cet île, où elle surmonte les calcaires de Chazy bien à découvert le long de la rive près du rapide des Allumettes, trois milles environ en avai de la ville de Pembroke et qui reposent, là, sur des argiles schisteuses, sablonneuses, gris verdâtre qui représentent la portion inférieure de la formation de Chazy. Ces argiles schisteuses sont aussi très répandues sur le côté sud de la rivière, dans le voisinage et en arrière de la ville de Pembroke. Elles occupent aussi plusieurs des grandes îles du chenal situées à trois ou quatre milles en amont de cet endroit. ILES AUX ALLUMETTES. L'île aux Allumettes, tout en étant surtout formée de sable et parti- culièrement d'argile du côté nord et à l'extrémité orientale, laisse voir eu beaucoup d'endroits des affleurements de roches paléozoïques. Al'extré" mité de l'angle nord-ouest, en aval de l'écluse de la Culbute, on voit sur les rives et au pont du village de Chapeau des bancs de gneiss grani- tique. Ces roches anciennes ressemblent au gneiss primitif du Lauren- tien. Elles sont surmontées près de l'angle nord-ouest de l'île par de la dolomie calcifère qui occupe l'extrémité occidentale et se prolonge au Sud, le long de la rive, sur une distance de trois milles dans la direction de Pembroke où elle est à son tour surmontée par des argiles schisteu- ses de Chazy. La dolomie a un plongement faible de trois degrés vers e sud et l'on trouve par intervalles, sur la rive sud de l'Ottawa, presque jusqu'à la limite occidentale du township de Pembroke, des roches simi- laires qui forment une lisière étroite le long de la rive. On ne voit pas de grès de Potsdam dans cette direction. Les argiles schisteuses de Chazy qui surmontent le Calcifère se pro- longent sur plusieurs milles le long du côté méridional de l'île et sont quelquefois à découvert sur la plage; les couches paraissent alors presque horizontales. Elles remontent dans le calcaire de Chazy, près de la tête du rapide des Allumettes et l'on voit bien ce calcaire dans une carrière 7262—21 20 COMMISSION GÉOLOGIQUE creusée dins l'île près du pied du rapide. Il est difficile de déterminer exactement la limite des diverses formations à cause de la rareté des effleurements, la plus grande partie de l'intérieur de l'île étant couverte de sable. RIVIÈRE OTTAWA-Suite. Les sables continuent vers l'ouest en suivant le cours de la rivière Ottawa après le village de Fort William et s'étendent vers le nord sur la partie méridionale des townships de Waltham, Chichester et Sheen jusqu'à ce qu'ils rencontrent une arrête escarpée de roches cristallines qui formaient l'ancienne limite du chenal de la rivière à l'époque pré- glaciaire ; les sables et les graviers forment quelquefois des arrêtes et l'on voit rarement des affleurements rocheux. En amont de Fort Wil- liam le cours de la rivière change et prend une direction du nord au sud sur une distance de plusieurs milles jusqu'à l'entrée de l'étendue d'eau appelée Deep river, représentant la portion de la rivière Ottawa entre High View et le rapide des Joachims, et qui a environ trente milles de longueur ; en certains endroits, la profondeur atteint, • dit-on, 500 pieds. Les roches que l'on peut voir le long de cette partie de la rivière, de la chute de la Culbute et de l'écluse du chenal du Nord à la Pointe MacKay, en face de High View ou à l'extrémité inférieure de la Deep river, sont toutes des gneiss granitiques. Le fasciage est rare et l'on voit peu de feuilletage, les roches ayant en général l'aspect d'un granite massif. Dans la région au nord de Deep river, le point le plus remarquable, est le rocher à l'Oiseau Oiseau rock. C'est un promontoire escarpé de gneiss gris rougeâtre et de granite, par places, bien feuilleté, surplom- bant la rivière de 500 et en certains endroits, de 800 pieds. A peu de distance en amont du rocher, le feuilletage a une allure N. 15° E. le plongement est E. 30°. Les roches n'ont cependant pas l'aspect fascié propre aux gTieiss de la formation de Grenville. Les roches granitiques se dirigent en une colline escarpée jusqu'aux Narrows, sept milles environ plus à l'est et forment là des falaises escarpées. Il y a en cet endroit une bande de roche dioritique foncée, de cinquante pieds environ de largeur, contenant des massifs de roches semblables sous forme de galets. En amont encore, jusqu'au confluent de la rivière Shehyn, les rives s'abaissent avec des intervalles de sable, mais les arêtes de gneiss gra- nitique se relèvent à quelque distance dans l'intérieur des terres. La FEUILLE DE PEMBROKE 21 roche est généralement de la même couleur rougeâtre et feuilletée en certains endroits. Au nord, tout le long de Deep river, le pays est, dit-on, très accidenté avec de grandes collines et des falaises abruptes presque inaccessibles, sauf en hiver. A l'entrée de la biie sans profondeur que l'on rencontre à un mille à peu près à l'est de la rivière Shehyn, une mince bande irrégulière de calcaire cristallin avec un peu de gneiss gris se présente en même temps que du gneiss granitique. Ce calcaire est très contourné et il semblerait qu'il a été pris dans un massif de granite irruptif et broyé au point de [erdre son caractère ordinaire de stratification. Bien que le plongement du gneiss feuilleté du rocher à l'Oiseau soit dirigé vers l'est, en amont des Narrows, il incline vers le nord- ouest, ce qui indique un pli anticlinal, et quelquefois les couches parais- sent être presque horizontales. Dans la plupart des cas, cependant, le fasciage ainsi que le feuilletage se discernent avec difficulté et l'as- pect de la roche est massif. En amont de la pointe aux Sauvages Iridian point, longue pointe sablonneuse et graveleuse qui s'avance dans la rivière en partant de la rive septentrionale, à douze milles environ à l'est du rapide des Joachims, les roches du côté nord forment une série de collines, du caractère de celles qui viennent d'être décrites. La couleur prédomi- nente est le rougeâtre ou gris rougeâtre, mais on voit quelquefois des bandes amphiboliques foncées et des dykes irruptifs d'une roche dioritique foncée. Sur la rive sud de la rivière, les rives sont généra- leme it basses et sablonneuses, mais on rencontre quelquefois des bancs semblables de gneiss granitique jusqu'au village des Joachims. Le village des Joachims est le point navigable extrême de la rivière pour les steamers qui partent de Pembroke. Sur le côté nord du village il règne une dépression s'étendant vers l'ouest en partant de l'Ottawa qui, en cet endroit, vient du sud. Cette dépression indique sans doute, l'existence d'un ancien chenal de la rivière ; car l'eau, dans le chenal méridional actuel de la rivière paraît être peu profonde, après la chaîne des rapides. Cet endroit est à cinquante milles à l'ouest de Pembroke et à ]a même distance à l'est de Mattawa. En revenant à la pointe de High View, à l'extrémité inférieure de Deep river nous avons examiné la rive méridionale. Nous avons ren- contré des gneiss granitiques similaires sur toutes les îles situées à l'entrée de baie de l'Esturgeon Sturgeon bay qui se trouve à la dé- charge de la chaîne de lacs de la rivière à la Chaux Chalk river. L'allure de ces roches est à peu près N. 10° E. avec un plongement 22 COMMISSION GEOLOGIQUE vers le nord -ouest à un angle de quinze degrés. Des roches analogues occupent le côté sud de Deep river depuis High Yiew, jusqu'à une distance d'environ dix milles ver.^ l'ouest et forment une arête qui sép'ire cette partie de la rivière,de la chaîne de lacs déjà citée et qui devait évidemment, à une certaine époque, former un ancien chenal de l'Ot- tawa maintenant considérablement obstrué par du sable et du gravier. Le pays au sud de cette chaîne jusqu'à la station de la rivière à la Chaux et le long de la ligne du chemin de fer Canadien du Pacifique, puis à l'est jusqu'après la traverse de la rivière Petawawa est très coti vert de sable. Les roches sont à découvert à de rares intervalles et appartiennent au genre du gneiss granitique. On ne rencontre pas de traces de calcaires de la formation de Grenville, ni de gneiss gris associés. Le gneiss granitique occupe apparemmeat toute la région au nord et au sud de la rivière Ottawa sur plusieurs milles et les forma- tions de Grenville paraissent être absolument absentes. En amont du fond de la baie de l'Esturgeon, jusqu'à l'embouchure de la Petawawa, on voit des bancs de gneiss granitique semblables à ceux que l'on rencontre sur la rive septentrionale. En aval, le chenal de Pembroke contient plusieurs îlots de gniess rouge feuilleté et l'on aperçoit quelquefois des affleurements de cette roche sur le côté sud, presque jusqu'à la ville de Pembroke. A quatre milles environ de l'ouest de cet endroit, il y a de petits affleurements de dolomie calcifère qui représentent la lisière occidentale du bassin paléozoique que l'on voit sur l'île aux Allumettes. Les rives de cette partie de la rivière sont généralement basses et sablonneuses ou parsemées de cailloux. A Pembroke apparaissent les argiles schisteuses de Chazy, sur- montées des calcaires de la partie supérieure de la formation. Elles continuent en descendant la rivière jusqu'à la tête de la grande île qui se trouve au rapide des Allumettes. Cette île se compose d'une dolomie grisâtre tournant au chamois sous l'influence de l'air qui représente probablement les couches de transition entre le calcaire de Chazy et les argiles schisteuses. Les formations rocheuses que l'on rencontre en descendant l'Ottawa à partir de Pembroke ont déjà été décrites ainsi que celles que l'on trouve le long du chenal septentrional jusqu'à Bryson. Le chenal du sud ou de la Roche Fendue est très tumultueux après l'île du Calumet et bien qu'il ait été autrefois employé pour le flottage du bois, il y a longtemps qu'on l'a abandonné pour cette fin en faveur du chenal septentrional. Les deux premiers milles, de la Passe à la tête FEUILLE DE PEMBROKE 23 dii premier barrage, traversent une platière argileuse avec, des deux côtés, des calcaires Calcifères et de Chazy et des argiles schisteuses. A l'île Sullivan, à la tête de laquelle il y a un barrage, les roches sont un mélange de gneiss granitique, de calcaire et de pyroxene. Le calcaire se trouve généralement en petits paquets ou lambeaux irré- guliers, comme s'il eût été pris dans des massifs irruptifs. Le gneiss associé est du genre rouilleux et quelquefois noir ou gris rougeâtre- Le granite est généralement massif. Puis, en descendant le chenal du nord, de l'île Sullivan à l'île Des jardins, les roches sont surtout du granite et du gneiss granitique avec quelquefois des lambeaux de calcaire. En aval de l'île Desjardins au pied de l'île La Fontaine, le calcaire reprend son importance, quelque fois bien fascié mais souvent mêlé de granite, et de dykes et l'on voit aussi d'autres roches dans lesquelles il y a des cristaux de pyroxene. Du quartzite et du gneiss rouilleux y sont aussi associés. Les bandes de calcaires sont, en certains endroits, très contournées et fracturées ; au portage du Rat Musqué, [Mnskrat portage le mélange enchevêtré des calcaires, pyroxenes, gneiss et granites forme une surface très acci- dentée et obstrue presque complètement le chenal en créant un rapide dangereux. Le calcaire est quelquefois fortement cristallin et blanc-spé- cialement près des irruptions de granite et ressemble beaucoup, à cet égard, au calcaire de la formation d'Hastings qu'on trouve le long de la rivière Mississippi et des villages de Bryson et de Portage du Fort. Après les rapides de la Barrière et le rapide Long que constituent un passage très dangereux pour les canots, les roches sont surtout des calcaires supportés par du gneiss rouilleux avec des dykes de granite contenant du gneiss et du pyroxene. De cet endroit, en descendant jusqu'à la tête du rapide situé à l'extrémité supérieure du lac de la Roche Fendue, le calcaire occupe la berge de gauche, c'est-à-dire la rive de l'île et le gneiss rouilleux occupe la berge de droite, avec un plongement sous-jacent vers le nord. A l'entrée de la baie supérieure, à la tête du lac de la Roche Fendue, le gneiss traverse la rivière et de ^à, en descendant le lac, le gneiss rouilleux occupe les deux rives, plon- geant vers l'île du Calumet à des angles aigus de dix à vingt degrés. A la pointe, en amont du dernier portage de la tête du lac, un dyke puissant de pegmatite coupe le gneiss comme un mur et recourbe le gneiss rouilleux à un angle d'environ trente degrés, le long du contact. Il fait alors saillie de plusieurs pieds au-dessus de la surface du gneiss. Le sable est très commun le long des rives du lac de la Roche Fendue. Des bancs de calcaire se montrent par intervalles, coupés de 24 COMMISSION GEOLOGIQUE dyke de granite, mais le calcaire prédomine. Les îles dans la partie inférieure du lac sont formées principalement de granite ainsi que les rives jusqu'au tournant brusque, au raccordement avec le chenal de Bryson. Les îles, en dehors de l'entrée du chenal, sont formées prin- cipalement de calcaire ; le contact entre le granite et le calcaire se trouve au fond de la baie profonde qui existe sur la rive occidentale, en amont de la pointe. Si l'on continue à descendre la rivière, sur un demi-mille, on trouve du calcaire le long de la rive sud et sur les îles qui existent dans le cours d'eau ; plus loin elles sont suivies par du granite irruptif jus- qu'au barrage d'aile. Là, le calcaire revient, avec des bandes de gneiss interstratifiées et ces deux roches sont coupées par des massifs de granite semblables à ceux que l'on voit à l'extrémité orientale de l'île du Calumet. En aval jusqu'au pont situé près de Portage du Fort, les roches sont un mélange de jj^ranite, de gneiss et de calcaire, le tout enchevêtré et laissant voir clairement le caractère irruptif du granite. Au pont et le long de la rive sud de la rivière, des massifs d'anortho- site et des dykes sont les traits marquants de la géologie de la région ; puis, 8 l'extrémité inférieure de la grande île qu'on trouve au Portage du Fort, ces roches coupent le calcaire en plusieurs endroits, celui-ci formant l'extrémité orientale et se prolongeant en descendant le cours d'eau jusqu'à plusieurs milles après le rapide des Chenaux. Sur la rive sud, des calcaires sont interstratifiés avec le gneiss. Un massif d'anorthosite de plusieurs milles carrés d'étendue se voit le long des routes qui vont à la station de Haley et à Renfrew. Tout le long de cette portion de la rivière, les calcaires sont fortement décomposés et très contournés avec de nombreux dykes de granite et de diorite. RÉGION AU NORD DE L'OTTAWA. Le principal afiluent occidental de la Gatineau dans cette région est la rivière Pickanock. Elle se jette dans la Gatineau }rès de l'angle nord-est. de la carte et sort de plusieurs grands lacs dont le plus important est le lac Dumont. Sur une grande partie de son cours les berges ne laissent voir aucun banc rocheux, les rives sont basses et sablonneuses. La contrée au nord n'est virtuellement pas encore ouverte à la colonisation et la surface du sol dans cette direction est souvent occupée par d'épais dépôts de sable. Lorsque les roches sous-jacentes sont à découvert elles consistent en granite et gneiss granitique et l'on voit quelquefois affleu- rer de minces couches de gneiss grisâtre et de calcaire cristallin. On voit une des bandes de ce dernier sur la route qui remonte la rive sud de la Pickanock dans le township de Clapham. Nous avons fait un FEUILLE DE PEMBROKE 25 mesurage le long de ce cours d'eau et un examen des lacs situés à sa source, comprenant les lacs de la Sauvagesse, Dumont et Kegimau. Autour de ces lacs, les roches sont généralement granitiques. A l'ex- trémité orientale du lac Dumont nous avons observé un petit affleure- ment de roche pyroxénique, mais nous n'avons pu y remarquer de miné- raux intéressants. Les bords du lac Kegimau sont formés de sable et de gravier, mais une bande étroite de calcaire se montre à l'extrémité septentrionale du lac supérieur et se prolonge jusqu'au bras méridional de la rivière du Désert. Des arêtes de roches granitiques traversent la région, mais elle est en général très boisée et les affleurements sont rares. Dans les townships de Low et d'Aylwin les dépôts de sable et d'ar- gile occupent de grandes étendues. Parmi les plus considérables de ces aires, il y a les plaines de Kazabazua qui partent du village de Kaza- bazua, près de la rivière Gatineau et s'étendent à l'ouest sur six milles environ jusqu'à la frontière nu township d'Alleyn. Les affleurements rocheux sont rares ^ans cette aire. On remarque quelquefois des affleu- rements de granite rouge mais la formation sous-jacente doit être en grande partie du calcaire cristallin. Les dépôts de sable s'étendent au nord de Kazabazua à la rivière Pickanock et, de fait, se continuent jusqu'aux plaines sablonneuses de la rivière du Désert. La contrée est relativement basse ou accidentée seu'ement de petites élévations. La nature irruptive de beaucoup du granite de la région d'Ottawa au travers des gneiss gris et des calcaires associés de la série Grenville- Hastings est prouvée d'une façon très concluante. Il n'existe aucun doute du moins quant à l'époque postérieure des certaines portions de ce granite. Il y a cependant lieu d'étudier avec soin s'il ne serait pas à propos de séjiarer certaines portions de ce massif granitique sous le titre de gneiss inférieur ou fondamental. Ce côté de la question a cependant été discuté dans plusieurs travaux récents de M. Adams, Barlow et de l'auteur de ce rapport. Les dernières études faites sur les roches cristallines de la région au nord de l'Ottawa ainsi que de la contrée située au sud dans les comtés de Renfrew et de Hastings, paraissent faire ressortir que des portions au moins du gneiss gran tique représentent la vraie formation fondamentale et que, par suite du ramollissement de l'ancienne croûte, les roches plus récentes ie Grenville-Hastings se sont enfoncées en certaines places, dans le gneiss inférieur. Les affleurements irréguliers de ce dernier représenteraient, par conséquent, maintenant les restes de ces formations qui ont échappé à la denudation énorme dont l'étendue 26 COMMISSION GÉOLOGIQUE entière a été atteinte. Dans ce cas, on peut raisonnablement prétendre que les grandes étendues de gneiss granitique devraient être assignées au Laurentien proprement dit. Les autres massifs existant, peuvent cependant être nettement considérés comme de vrais irruptifs d'une date plus récente que les roches de hi formation de Gren ville. On en remarque plusieurs espècef^, comme de l'anorthosite, des roches py- roxéniques, de la pegmatite, de la diabase et certains granites. Bien que ces derniers ressemblent à beaucoup d'égards physiquement, au gneiss- granitique ancien, en règle générale, ils sont de moindre dimension et d'une texture beaucoup plus massive. Les gneiss associés aux calcaires peuvent être regardés comme des roches sédimentaires décomposées, dont les caractères métamorphiques sont dus surtour à de la décom- position régionale, mais qui, localement sont plus fortement décompo- sées par l'action d'irruptives plus récentes. Ce trait particulier se remar- que fréquemment dans beaucoup des calcaires des formations de G^en- ville et d'Hastings. Après un examen de toutes les faces du problème, il est maintenant généralement admis que le Laurentien devrait autant que possible être limité au gneiss granitique fondamental, que les roches des formations de Gren ville et d'Hastings devraient être regardées comme une portion de l'Huronien et représentent les éléments inférieurs de cette formation dans l'est d'Ontario et dans la partie de Québec adjacente, et que la partie supérieure de l'Huronien est représentée par la portion plus schisteuse que l'on voit dans l'aire plus au sud et' à l'ouest. Cette façon de classifier fait disparaître la difficulté que l'on avait éprouvée jusqu'à présent pour interpréter d'une manière satisfaisante le grand problème des roches cristallines. RÉGION AU SUD DE L'OTTAWA. La région au sud de l'Ottawa, contient une grande variété de forma- tions rocheuses. On voit en beaucoup d'endroits des aires ou affleure- ments considérables de la série paléozoïque, qui^ont du Potsdam au Trenton. Des travaux d'exploration ont été exécutés dans cette région dès les débuts de la Commission géologique. Il a déjà été parlé des investiga- tions de M. A. Murray en 1853 sur les rivières Bonnechère et Peta- wawa et dont les résultats figurent au Rapport de 18ô4. Plusieurs par- ticularités géologiques très intéressantes ont été mis au jour dans l'exa- men de ce dernier cours d'eau qui fut descendu depuis la ligne de parta- ge c'est-à-dire depuis la source de la Muskoka. FEUILLE DE PEMBROKE 27 M. Murray indique que le gneiss granitique qui est la principale roche existant le long de la Petawawa, est, quant à sa nature, très sem- blable à celui que l'on voit le long du courssupérieur de l'Ottawa. Il en donne la description suivante " une roche ferrugineuse, rouge brique, composée principalement de feldspath et de quartz, [ui, en certains en- droits ressemble à un gneiss amphibolique terne et en d'autres endroits aune syenite à grain fin ; le gneiss des environs, lorsque l'on peut en discerner la stratification, étant toujours éclaté et disloqué, j'ai été ame- né à considérer la roche rouge comme irruptive ". Quant à sa répartition le long du cours de la rivière, M. Murray fait les remarques suivantes au sujet de la portion de la rivière en aval du iac des Cèdres qui est à quarante cinq milles en ligne droite à l'ouest de son confluent avec l'Ottawa " cette roche rouge se voit par inter- valles, du lac des Cèdres à l'embouchure delà rivière, formant fréquem- ment des falaises verticales hardies qui dans un cas, en particulier, do- minent perpendiculairement la rivière de 250 pieds de hauteur. La roche présente une texture conchoïdale et est généralement entrecoupée depetites veines de couleur verdâtre supposées être de la diorite qui im- prègne également le gneiss adjacent. La roche amphibolique noire est souvent très pyritouse et les massifs rouges associés sont fréquemment fortement ferrugineux, colorant quelquefois la surface du sol d'une teinte rouge vif ; quand le gneiss vient en contact avec la roche rouge il ressemble quelquefois si étroitement au massif adjacent, qu'on ne peut le distinguer de celui-ci qu'en observant la continuité de la disposition parallèle des couches minérales qui cesse au raccordement. Ceci se remarque spécialement à l'extrémité inférieure du lac des Cèdres, où la probabilité de la nature irruptive du massifs s'est pour la première fois présentée à mon esprit ". " Au détour septentrional fait par la rivière en aval du lac Travers qui se trouve à vingt milles environ en aval du lac des Cèdres une portion du gneiss est vert foncé et paraît contenir de l'épidote, tandis que d'autres portions sont gris foncé avec beaucoup de grenats épars. La roche rouge à grain fin et supposée irruptive est dans le proche voi- sinage de ces deux espèces; on la voit sur la rivière en amont et en aval, des points où se trouvent celles-ci, mais on n'a pas pu s'assurer d'une façon satisfaisante si elle est interstratifiée avee le gneiss ou si elle l'en- trecoupe ". Si l'on tient compte de cette description des roches existant le long de la Petawawa qui coule à peu près parallèlement à la portion de l'Ot- tawa appelée Deep river et à quinze ou vingt milles au sud, il semble- 20 OOMMISSION GEOLOGIQUE rait que ces roches doivent se continuer sur toute la distance et qu'il doit se rencontrer quelquefois des bandes de gneiss grisâtre et grenatifère mais que celles-ci ont été absolument enlevées par denudation ou par absorption dans le massif irruptif inférieur, que quelques-uns ont regardé comme le gneiss fondamental. Au sujet des roches constatées le long de la rivière, M. Murray fait remarquer que " elles sont générale- ment l'objet de telles dislocations et de tels bouleversements, surtout en aval du lac des Cèdres, que par suite, on ne doit pas se baser, sauf pour de courtes distances, sur l'attitude que dénotent les parties stratifiées ". RIVIÈRE BONNECHÈRE M. Murray a fait aussi dans la même année l'examen de la rivière Bonnechère qui coupe la partie méridionale de la carte du lac Golden à son confluent avec l'Ottawa près de Castelford, à douze milles envi- ron à l'ouest d'Arnprior. Cette rivière, dans la partie inférieure de son cours passe entre deux berges d'argile avec quelques affleurements de roches cristallines, mais, près de l'Ottawa on voit des affleurements de dolomie calcifère le long du chemin, à l'est du pont et sur les rives de l'Ottawa, tandis que des étendues considérables de formations plus récentes, comprenant du Chazy, du Black River et du Trenton, se rencontrent par intervalles *presque ju'-qu'au pied du lac Golden Sur ce parcours, la navigation de la Bonnechère est interrompue par quatre fortes chutes et des es- paces d'eau agitée. L'altitude de l'Ottawa à l'embouchure de la Bonnechère, figure dans le Dictionnaire des altitudes de M. James White, comme étant de pieds à l'eau basse et de 246 pieds à l'eau haute. Le même ouvrage indique que l'altitude de l'eau à l'issue du lac Golden est de 560 pieds. Ces chiff'ies sont comptés au-dessus du niveau moyen de la mer. D'après les observations faites par M. Murray, l'altitude à l'embou- chure de la Bonnechère, prise dans le rapport de sir William E. Logan 1845, est portée à pieds et celle du lac Golden, mesurée par, M. I^Iurray, est de pieds, ce qui fait un écart de pieds, en prenant le niveau du lac des Chats à l'eau basse. A la première chute, un mille environ en amont de l'embouchure de la rivière, la dénivellation indiquée par Murray est d'environ trente deux pieds et demi. Les roches sont en général du calcaire cristallin contenant un peu de gneiss, le tout ayant l'aspect fascié des marbres d'Arnprior, et les plongements sauf quelques variations voWj à l'E. ou au S. 65 E. S. asjoerostriatus ; 4 BelleropJion argo ; 5 B. Charon; 6 Phragmoceras primœvum ; 7 Orthoceras tener ; 8 0. pertinax. En 1861-1865, Billings^ a décrit et représenté un certain nombre d'espèces provenant de l'aire de la carte de Pembroke qui sont les sui- vantes 1 Holopea pyrene ; 2 //. nereis; 3 Pleurotomaria arachne; 4 Murchisonia procris ; 5 Eunema cerithioides ; 6 Subulites parvulns ; 7 Metoptoma erato ; 8 Conoardium immaturum ; 9 Modiolopsis nais; 10 Ctenodonta abrupta ; 11 Cyrtodonta leuco- thea ; 12 Petraia aperta ; 13 Porambonites ottawaënsis ; 14 1 Figs and Descrip. Can. Org. Rem. Dec. 3. Montréal, 1858 2 Can. Nat. and Geol. Vol. IV. n° 5. Art. XXVIII, p. 348, Montréal, 1859, 3 2 ibid. Art XXIV, n° 6. Dec. 1859, p. 426, Montréal, 1859. ^ Can. Nat. and Geol. Vol. V, n° 3, juin, 1860. Montreal. ^ Fossiles paléozoïques, Vol. 1860-61. Montréal. FEUILLE DE PEMBROKE 65 Pleurotomaria dryo'pe ; 15 P. Vitruvia ; 16 Murchisonia alex- andra 17 Metoptonna superha ; 18 Cyrtoceriiia typica ; 19 Chiton canadensis. Dans son admirable résumé de la Géologie du Haut et du Bas Canada, sir W. E. Logan, ^ enregistre avec M. E. Billings les espèces suivantes venant du rapide des Allumettes — 1 Lingula lyelli ; 2 Pleurotomaria ou Holopea ; et les attribue à la formation de Chazy. En 1883,- M. Arthur Ford, consigne comme suit deux espè- ces de débris organiques provenant des strates du rapide de Paquette, rivière Ottawa. Monotrypella aêqualis^ Ulrich, p. 15. 1882, Ulrich, Journ. Cincinnati Soc. Nat. Hist. Vol. V. p. 247, pi. 2, figs. 3, 3a, 3b, 1882. Emplacement, formation et découvreur — Rapide de Paquette, rivière Ottawa, formation Black River ; James Richardson. Batostoma ottawaënse, Foord, p. 18, pi. 2; figs. 1-1 f. Emplacement, formation et découvreur — Rapide de Paquette, Black River, James Richardson. En 1888, le Dr Arthur Foord, autrefois aide-paléontologiste de la Commission Géologique du Canada, consigne ^ l'existence d'espèces ca- nadiennes de Céphalopodes dans les collections du Jîritish Museum. Ce sont les suivantes — Orthoceras arcuoliratnm, Hall. Cyrioceras faix, Billings. Ces deux espèces sont désignées comme venant de l'île aux Allu- mettes, rivière Ottawa, Canada. En 1896, l'auteur de cette étude a présenté à la * Société Royale du Canada un travail portant sur la faune caractérisant les formations géologiques et les affleurements du bassin paléozoïque de l'Ottawa. Ce travail était destiné à servir d'annexé ou de supplément à celui que pré- senta le Dr. R. W. Elis devant la même société, sous le titre — " Pa- laeozoic outliers in the Ottawa basin ". 1 " Géologie du Canada", 1863, p. 134. Montréal Contri . . Micro — Paleontology of the Cambro-Silurian rocks of Canada, Geol . and Nat. Hist. Surv. of Canada, Ottawa, 1883. 3 Catal. Fossil Cephalopoda, British Musueum, Vol. 1. Pt. 1, p. 10, London 1888. 4 "Notes on some of the Fossil Organic remains comprised in the Geological forma- tions and outliers of the Ottawa Palaeozoic Basin " Trans. Roy. Soc. Can. Vol. II. New Series Sect. IV, pp. 151-158, 1896. 7262—5 66 COMMISSION GEOLOGIQUE L'auteur a fait une liste de près de soixante-deux des espèces de fossiles les plus caractéristiques que l'on rencontre dans la formation Black River des rapides de Paquette dans l'aire embrassée par la carte de Pembroke. Les soixante-deux espèces dont la liste suit sont toutes puisées à des collections réunies par des membres de la Commission Géologique du Canada et leurs désignations génériques aussi bien que spécifiques sont données avec les changements qui ont paru nécessiter les modifications récentes dans la nomenclature et la classification. Ce sont — FOSSILES DU RAPIDE DE PAQUETTE.— AFFLEUREMENT DE L'ILE AUX ALLUMETTES. Receptaculites occidentalis, Salter. Stromaiocerium rngosum^ Hall. Tetradium fihratum, Safford. Calapœcia canadensis, Billings. Cohimnaria halli, Nicholson. Streptelasma pro/undum, Hall. Petraia aperta, Billings. Poramhonites ottawaënsis, Billings. Solenopora compacta, v. Paquettiana, Ami. Eichwaldia suhtrigonalis, Billings. Camarella volborthi, Billings. Camarella panderi, Billings. Dinobolus magnificns, Billings. Modiolopsis nais, Billings. Ctenodonta astartœformis, Billings. Ctenodonta gihberula, Salter. Ctenodonta logani, Salter. Conocardium immaturum, Billings. Cyrtodonta spinijera, Billings. Cyrtodonta leucothea, Billings. Loxonema vfiurrayaitum, Salter. Straparollina asperostriata, Billings. Straparollina circe, Billings. Straparollina eurydice, Billings. Holopea nereis, Billings. Holopea pyrene, Billings. Cyclonema hallianum, Salter. Eunema cerithioides, Salter. Eunema strigillatum, Salter. FEUILLE DE PEMBROKE 67 Eotoniaria pagoda^ Sal ter. Eotomaria dryope^ Billings. Ilelicotoma planulata, Salter. Helicotoma larvata, Salter. Raphistoma lapicidum, Salter. Raphistoma aperlum, Salter. Liospira vitruvia, Billings. Flethospira ? arachne, Billings. Omospira alexandra, Billings. Lophospira helicteres, Salter. Lophospira perangulata, Hall. Lophospira serrulata, Salter. Chiton canadensis, Billings. MetoptoTna erato, Billings. Scenella supe7'ba, Billings. Bellerophon charon, Billings. OxydisGus argo, Billings. Maclurea logani, Salter. Actinoceras allumpttense, Billings. Actinoceras bigsbyi, Bronn. Orthoceras bilineatum, Hall. Orthoceras laqueatum, Hall. Orthoceras strigatum, Hall. Orthoceras arcuoliratum, Hall. Orthoceras hastatum, Billings. Orthoceras ienerum, Billings. Oncoceras constrictum, Hall. Cyrtoceras billingsi, Salter. Cyrtoceras Jalx^ Billings. Cyrtoceras regulare, Billings. Cyrtocerina typica, Billings. Gonioceras anceps, Hall. Cytheropsis siliqua, Jones. Leperditia canadensis, v. Paquettiana, Jones. En 1897, le Prof. E, O. Ulrich ^ a décrit les Lamelli — branchiata, Ostracodes et Gastéropodes du Silurien Inférieur du Minnesota, Au cours de ses remarques sur les les différents genres et espèces caracté- risant ces strates qui sont coutemporaines ou homotaxiales de celles du bassin paléozoïque de l'Ottawa, et de la carte de Pembroke en par- J The Geol. of Minnesota, Vol. III, Final Report, Palœntology, Minneapolis 1897. 7262— 5J 68 COMMISSION GÉOLOGIQUE ticulier. Il cite difiFérentes espèces provenant du rapide de Paqùette et de l'île aux Allumettes et donne la description de deux espèces nou- velles et d'une variété nouvelle provenant de l'aire en question. Les espèces du rapide de Paqùette sont les suivantes — Ctenodonta nasuta N. var. Oxydiscus argo, Billings, esp. Scenella superba, Billings, esp. Raphistoma lapicida, Salter. Omospira alexandra, Billings. Lophospira serrulata, Salter. Lophospira helicteres, Salter. Lophospira pera7igulata, Hall. Liospira ? mundula, Ulrich. N. esp. Hormotoma salteri, Ulrich, N". esp. Solenospira pagoda, Salter, esp. Helicotoma planulata, Salter. Gyronema semicarinatum, Salter, esp. Le Dr Whiteaves ^ décrit et consigne pour la première fois comme provenant du calcaire de Black River du rapide de Paqùette la J}^an- no aulema, Clarke. En 1900, M. Lambe, ^ consigne l'espèce Tetradium fihratum, Safford provenant du rapide de Paqùette et, l'année suivante ^ le même auteur discute les coraux suivants du rapide de Paqùette ; — Co- lumnaria halli, Nicholson, Petroia profunda, Hall, P. aperta, Billings, et Streptelasma corniculum, Hall. Classification de fossiles provenant du rapide de Paqùette, rivière Ottawa, réunis par M. Weston^ de la Commission Géologique du Canada. Dans les années 1872 et 1880, M. T. C. Weston, alors membre de la Commission Géologique, a visité le rapide de Paqùette et son excellente collection contient les espèces suivantes classifiées par l'auteur de cette étude. 1 Ottawa Naturalist, Vol. XII, No 6, p. 116, Sept. 1890, Ottawa. 2 Contrib. Can. Pal. Vol. IV, pt. 1, p. 93, Ottawa, 1899-1900. .3 2. ibid, P. 11, Ottawa, 1901. FEUILLE DE PEMBROKE 6sr Genres et espèces. Auteur. PROTOZOAIRES. Receptaculites occidentalù HYDROZOAI RES. Stromatocerhim rugosum ZOOPHYTAES. Colvmnaria halli Streptelasma profunduni. Petraia aperta Coraux tabulaire indet . . CRINOIDES. Fragments Crinoidaux . . MONTI eu LIPOROIDES. Formes branchu es Monticvlip.^roidea. indet. BRA CHIOPODES. Orthis tricenaria Dalmanella tcstudinaria. Strophomena incurvata . . GASTEROPODES. Oxydiscus argo Bellerophon charon . Bcllerophon, esp Eunema? pagoda. . . . Eunema cerithioides . Eunema strigillatuvi. Helïcotoma lorvata.. . Murchisonia, esp . . . . Maclurea logani. . . PELECYPODES. Ctenodonta gibberula Ctenodonta contract i Ctenodonta astartœformis Ctenodonta nasuta Ctenodonta logani CEPHALOPODES. Orthoceras recticameratum Orthoceras, esp., v. com p. 0. vulgatum. Actinoceran higsbyi , Cyrtoceras, esp., comp. C. faix Salter. Hall. Nicholson Hall. Billing's Conrad Dalinan Shepard Billings Billings Salter Salter Salter Salter Salter Salter Salter Salter Conrad Salter Hall Billings Bronn Billings 4 1872. ^.^^ 1880. 70 COMMISSION GÉOLOGIQUE Classification de fossiles provenant d^ emplacements situés dans l'aire de la carte de Pembroke et recueillis par le Dr R. W. Elis. Collection A. Affleurement N°. 1. Pointe de l'Estacade {Boom point extrémité occidentale de la Pointe Sèche, township de Manstield, comté de Pontiac, Québec. Collectionneur R. W. Elis, 1899. LISTE DES ESPÈCES. Stromatocerium rugosum^ Hall. Calapœcia canadensis, Billings. Columnaria halli, Nicholson. Coraux tabula res obscurs et espèces pas encore reconnues. Monticuliporoidea, plusieurs espèces, exigeant des micro-sections pour pouvoir être reconnues. Strophomena, esp. Orthis tricenaria, Conrad. Cyrtodofita, esp. trop imparfaitement conservée pour pouvoir être reconnue. 1 1 Operculum de gasterapode, comme celui d'un Maclurea. Asaphus,'esi>. fragments du cephalon. Cheirurus esp. forme se rapprochant du Cheirurus pleuraxan- themuSy Green. HORIZON. L'association des espèces dans la collection qui précède paraît indi- quer un horizon approchant du sommet de la formation de Black River de l'époque ordovicienne. Collection B. Affleurement N". 2, Pointe Sèche ; extrémité infé- rieure ou orientale de la Baie de la Pointe Sèche, township de Mans- field, comte de Pontiac, Que. Collectionneur, R. W. Elis, 1899. LISTE DES ESPÈCES. Receptaculites occidentalis, Salter. Streptelasma pro/undum, Hall. Solenopora compacta, Billings. Pachydictya, esp. Intricaria reticulata, Hall. — Suhretepora reticulata. Batostoma ottawaënse, Foord, ou une forme s'y rattachant inti- mement. Monticuliporoidea, plusieurs espèces exigeant des micro-sectiona pour pouvoir être reconnues. FEUILLE DE PEMBROKE 71 Crania ? esp., Strophomnena incurvata, Shepard. Streptorhynchus filitextum des auteurs. Rafinesquina alternata Emmons Conrad. Orthis Dalmanella testudinaria, Dalman. Rhynchotretna inœquivalvisj Castelnau. — Rhynchonella in- crebescens des auteurs. Uyolithes, esp., trop imparfaite pour être reconnu. Euomphalus ? esp. indéter. Murchisonia Hormotoma esp. une forme ressemblant au Mur- chisonia alexandra, Billings. Maclurea, esp. trop imparfait pour constatation. Orthoceras, esp., La chambre corporelle seule et une espèce d'Orthocoratite est conservée et, par suite, le spécimen est trop imparfait pour être reconnu spécifiquement. Orthoceras, esp. se rattachant à l'O. hastatum, Billings. Bathyurus, esp. alliée au B. extans, Hall. Asaphus megistos, Locke, ou une forme se rapprochant beau- coup. Illœnus espi comp. Illœnus americanus, Billings. Lichas trentonensis, Hall. Primitia logaiii, Jones. Leper ditia canadensis, Jones. HORIZON, ETC. Les fossiles sont conservés dans un calcaire impur, partiellement cristallin, tournant sous l'action de la température au gris jaunâtre et contenant des fragments crinoïdaux. La faune représentée dans la liste qui précède indique la présence de strates que l'on peut rapporter plus convenablement à la moitié supérieure de la formation de Black-River. La présence de Recepta- culites occidentalis, Salter, et de Streptelasma profunduin, Hall, sont une indication évidente dans ce sens. Il y a un grand nombre de for- mes, y compris le Rhynchotrema inœquivalvis, Dalmanella testu- dinaria, Lichas trentonensis, et des spécimens roulés ou usés de Solenopora compacta qui paraissent dénoter les couches inférieures de la formation de Trenton. Collection C. Blocs détachés de calcaire des rives de la Pointe- Sèche, township de Mansfield, comté de Pontiac, Q. Collectionneur R. W. Elis, 1899. 72 COMMISSION GÉOLOGIQUE Fragments crinoïdaux. Bryozoaires, plusieurs genres et espèces qui exigent des micro- sections pour pouvoir être reconnus. Il parait y exister aussi des Pachydictya, Ptilodictya, /Stictopora. Mo7diculiporoides, plusieurs formes branchues qui exigent aussi des micro-sections avant de pouvoir être classifiées avec précision. Strophome7ia, esp., un fragment, trop imparfaitement conservé pour être reconnu. Rhynchotrema inœquivalvis, Caste] nau. Camarella panderi, Billings. Forme bien conservée et adulte de cette espèce assez rare. Belleropho7i 1 ? esp. Lopkospira perangulata, Hall. Gasteropode obscur, probablement une espèce de Murcliisonia. Asaphus, esp. fragment du bouclier de tête, trop imparfait pour être reconnu spécifiquement. HORIZON, ETC. L'association des espèces précédentes indique que les blocs de calcaire sont probablement de l'époque des formations Black River et Trenton. RAPIDE DE PAQUETTE, RIVIÈRE OTTAWA, COLLECTIONNEUR JOHN STEWART, 1887. Parmi les collections examinées par l'auteur de cette étude et prove- nant de divers endroits de l'aire de la carte de Pembroke, il y en a une réunie par M. John Stewart, autrefois du département de l'Intérieur à Ottawa. Elle a été composée en 1887 à l'endroit type et contient les espèces suivantes Palpliopyllum, esp. comp. P. rugosum. Nicholson. Columnaria, esp. comp. C. incerta, Billings ou forme non décrite- Cyclonema ou Lophospira, trop imparfaite pour être reconnue. Holopea nereis, Billings. Eunema pagoda, Salter. {Solenospira pagoda, Salter, esp. Pleurotomaria dryope, Billings. MUSÉE DE LA COMMISSION GEOLOGIQUE, OTTAWA. Dans les vitrines du Musée de la Commission Géologique à Ottawa sont exposées beaucoup d'espèces de fossiles qui servent à montrer les matières paléontologiques qui caractérisent les formations rocheuses de l'aire contenue dans la carte de Pembroke n** 122. H y a entre FEUILLE DE PEMBROKE 73 autres ceux du rapide de Paquette et de la rivière Bonnechère qui for- ment les importantes séries suivantes A. RAPIDE DE PAQUETTE, RIVIÈRE OTTAWA. LISTE d'espèces. PROTISTA. Receptaculites occidentalism Salter. HYDROZOAIRES. Stromatocerium rugosum, Hall. ZOOPHYTAES. Tetradium fihratum^ Safford. Calapœcia canadensis, Billings. Columnaria halli, Nicholson. Petraia aperta, Billings. Strej^telasma profuTtdum, Hall. Streptelasma corniculum, Hall. Pachydictya acuta, Hall. BRACHIOPODES. Oholellina magnifica, Billings. Strophomena incurvata, Shepard. » Dalmanella testudinaria, Dalman. Porambonites ottawaënsis, Billings. Rhynchotrema inœquivalvis, Castelnau. Rhynchonella incre- bescens, Hall. Camardla volborthi, Billings. Eichwaldia subtrigonalis, Billings. Camarella panderi, Billings. PELECYPODES. Lyrodesma poststriatum, Emmons. Modioloj^sis nais, Billings. Modiolopsis Jaba, Conrad. Modiolopsis carinata, Hall. Ctenodonta abrupta, Billings. Ctenodonta astartœformis, Salter. Ctenodonta contracta, Salter. 74 COMMISSION GÉOLOGIQUE Ctenodonta gihherula^ Salter. Ctenodonta nasuta^ Conrad. Ctenodonta logani, Salter. Cyrtodonta canadensis, Billings. Cyrtodonta spinifera, Billings. Cyrtodonta rugosa, Billings. Cyrtodonta ohtusa. Hall. Cyrtodonta leucothea, Billings. Conocardhim immaturum, Billings.. GASTEROPODES. Loxonema murrayanum, Salter. Straparollina asperostriata, Billings. Straparollina circe, Billings. Straparollina eurydice, Billings. Holopea nereis, Billings. Holopea pyrene, Billings. Cyclonema hallianum, Salter. Cyclonema semicarinatum, Salter. Trochonema umbilicatum, Hall. Eunema cerithiodes, Salter. Eunema strigillatum, Salter. Eunema pagoda, Salter. Helicotoma planulata, Salter. Helicotoma spinosa, Salter. Helicotoma larvata, Salter. Raphistoma lapicidum, Salter. Raphistoma apertum, Salter. Pleurotomaria vitruvia, Billings. Pleurotomaria dryope, Billings. Pleurotomaria arachne, Billings. Murchisonia procris, Billings. Murchisonia alexandra, Billings. Murchisonia hellicincta. Hall. Murchisonia gracilis. Hall. Murchisonia perangulata. Hall. Murchisonia milleri. Hall. Murchisonia helicteres, Salter. Murchisonia serrulata, Salter. Murchisonia ventricosa, Hall. Chiton canadensis, Billings. FEUILLE DE PEMBROKE 75 Metoptoma erato, Billings. Metoptoma superha, Billings. Belleroplion charon, Billings. Bellerophon argo, Billings. Bellerophoii bilobatus, Sowerby. Bucania bidorsata, Emmons. Cyrtolites compressus, Conrad. Pterotheca expansa, Hall. Maclurea logani, Salter. CEPHALOPODES. Orthoceras Actinoceras allumettense, Billings. Orthoceras Actinoceras bigsbyi, Stokes. Orthoceras bilineatum, Hall. Orthoceras laqueatum^ Hall. Orthoceras anellum, Conrad. Orthoceras strigatum, Hall. Orthoceras arcuoliratum, Hall. Orthoceras hastatum, Billings. Orthoceras recticameratum, Hall. Orthoceras tenerum, Billings. Endoceras multitubulatum, Hall. Oncoceras constrictum, Hall. Cyrtoceras billing si^ Salter. Cyrtoceras falx^ Billings. Cyrtoceras regulare, Billings. Gonioceras anceps. Hall. TRILOBTTES. Dalmanites callicephalus, Green. Cytheropsis siliqua^ Jones. Cytheropsis rugosa, Jones. Leperditia canadensis, Jones. B. RIVIÈRE BONNECHÈRE, COMTÉ DE RENFREW, ONTARIO. QUATRIÈME CHUTE DE LA RIVIÈRE BONNECHÈRE. COLLECTIONNES PAR E. BILLINGS. Pachydictya acuta, Hall. Obolellina canadensis, Billings. 76 COMMISSION GEOLOGIQUE Or this Hehertella insculpta, Hall. Strophomena incurvata, Shepard. Cyrtodonta canadensis^ Billings. Bathyurus spiniger, Hall. Ces deux séries A et B sont exposées dans les vitrines de Black- River au Musée Géologique, rue Sussex, Ottawa. Collections du Musée Redpath, — Université McGill, Montréal. A. RAPIDE DE PAQUETTE, RIVIÈRE OTTAWA. Liste des espècesdes débris organiques provenant du rapide de Paquette, rivière Ottawa, exposés dans les vitrines du Musée Peter Redpath Uîiiversité McGill, Montréal. Ces espèces ont été classifiées pour la plupart par feu sir William Dawson et par plusieurs membres de la Commission Géologique du Canada. Elles comprennent des spécimens de la " Collection Dawson " et ont été recueillies par M. R. J. B. Howard, B. A., et par l'auteur en 1878 et en 1880 respectivement. Elles sont rapportées à la division Black-River du groupe de Trenton et bien que la nomen- clature la plus récente et la plus serrée ne soit pas employée pour dési- gner les genres et les espèces, il est cependant facile de reconnaître les espèces et la faune. Les numéros indiqués sont ceux que portent les spécimens au Musée Redpath. On a ajouté toutes les fois qu'on a pu les obtenir ou qu'ils étaient marqués, le nom du collectionneur, l'emplacement précis et la date. FOSSILES DU RAPIDE DE PAQUETTE, RIVIERE OTTAWA. Stromatocerium rugosum. Hall. N"' 752 et 862. H. M. A. 1880. Receptaculites occidentalis, Salter. N° 764, H. M. A. 1880. Calapœcia canadensis, Billings, N° 757. Don de la Commis- sion géologique. Columnaria alveolata. =Columnaria halli, Nicholson, N° 1867. Don de D. K. Cowley. Petraia cornicula. Hall. N° 741. Petraia profunda, {^=Streptelasma profundum. Hall N° 742. R. J. B. Howard, 1879. Orthis tricenaria, Conrad, N** 709, M. R. J. B. Howard, 1879. FEUILLE DE PEMBROKE 77 Stropliomena, esp. Une dalle de calcaire avec plusieurs spéci- mens de Strojyhomena incurvata, Shepard, le Streptorhynchus Jilitextusum, de Hall, et des auteurs en général. N° 968. Ainsi que Murchisonia hellicincta sur la même dalle. Bellerophon charon^ Billings. H. M. A. 1880. H elicotoma planulata, Salter, H. M. A. 1880. Il y a un spécimen marqué Helicotoma larvaia, qui est évidem- ment le //. planulata, Salter, N° 694, M. R. J. B. Howard, 1879. Murchisonia gracilis, Hall, N° 660, R. J. B. Howard, 1879. Un autre spécimen le N° 667 est silicifié et a été recueilli par la même personne à la même date. Murchisonia bicincta, Hall. ^= Mu,rchisonia milleri, Hallj ; =probablement Hormotoma bicincta, Hall N° 6, 62, don de la Commission géologique. JJurchisonia bellicincta, Hall. N" 681. Deux spécimens l'un silicifié, l'autre pas ; ce dernier est un moulage dolomitisé de l'intérieur d'un spécimen. Ctenodonta gibbosa, Salter, H. M. A. 1 880. Gtenodo7ita nasuta, Conrad. N" 690, J. Richardson, Ctenodonta nasuta, Conrad, H. M. A. 1880. Ctenodonta astartœforinis, Salter, H. M. A. 1880. Maclurea logani, Salter, a N" 674, Opercula, N° 675. Exem- plaires de coquilles à l'état silicifié. R. J. B. Howard, 1879, b N°^ 929, 930, 931, 932. Comprennent plusieurs coquilles et opercules silicifiées de cette espèce intéressante . ? Lituites undatus, H. M. A. 1880. Orthoceras bigsbyi, N° 654. Exemplaire silicifié montrant une portion du siphon mummuloïdal avec quinze annel- lations. Orthoceras, esp., E. Billings. B RAPIDE DE JESSUP, RIVIÈRE OTTAWA. Les trois spécimens suivants provenant de cette localité sont exposés dans les vitrines du Musée de l'Université McGill à Montréal. Columnaria alveolata, =Columnaria halli, Nicholson, N''892. Orthoceras pretiosa sic N° 874. Cet orthocératite paraît être un Endoceras, allié au Endoceras proteiforme, Hall. Don de la Commission géologique. Endoceras • N° 813. Collectionneur et date omis. 78 COMMISSION GEOLOGIQUE C POINTE SÈCHE, FORT COULONGE. Stromatocerium rugosum^ Hall. Exemplaire silicifié de cette espèce» Collectionneur J. Richardson. % D QUATRIÈME CHUTE DE LA BONNECHÈRE. Murchisonia gracilis, Hall. Spécimen silicifié. Nom du col- lectionneur pas indiqué. LES DEPOTS PLEISTOCENES. A LES SÉDIMENTS MARINS, ARGILE DE LEDA OU " FORMATION DE GREENS CREEK." Mallotus villosus, Cuvier. Le capelan ordinaire du bas Saint- Laurent et de la Baie d'Hudson. — Rapide Plat, rivière Madawaska, comté de Renfrew, Ont. B LES DÉPOTS DE MARNE d'eAU DOUCE LACUSTRINE. Anodonta Jluviatilis. Cyclas orbicularis. Paludina decisa. Physa heterostropha. Planorhis campanulatus. Réseau de bibliothèques Université d'Ottawa Échéance Library Network University of Ottawa Date Due SELECTED LIST OF REPORTS SINCE 1885 OF SPECIAL ECONOMIC INTEREST PUBLISHED BY THE MINES DEPAHTMRNT OF CANADA A. — Published by the Geological Survey. MINERAL RESOURCES BULLETINS 818. Platinum. 859. Salt. 877. Graphite. 851. Coal. 860. Zinc. 880. Peat. 854. Asbestus. 869. Mica. 881. Phosphates. 857. Infusorial Earth. 872. Molybdenum and 882. Copper. 858. Manganese. Tungsten. 913. Mineral Pigments. 953. Barytes. 745. Altitudes of Canada, by J. White. 1899. 40c. BRITISH COLUMBIA. 212. The Rocky Mountains between latitudes 49" and 51* 30', by G. M. Dawson. 1885. 25c.. 235. Vancouver Island. byG. M. Dawson. 1886. 25c.. 236. The Rocky Mountains, Geological Structure, by R. G. McConnell. 1886. 20c.. 263. Cariboo mining district, by A. Bowman. 1887. 25c.. 272. Mineral Wealth, by G. M. Dawson. 294. West Kootenay district, by G. M. Dawson. 1888-89. 35c.. 573. Kamloops district, by G. M. Dawson. 1894. 35c. 574. Finlay and Omineca Rivers, by R. G. McConnell. 1894. 15c. 743. Atlin Lake mining div., by J. C. GwiUim. 1899. 10c. 939. Rossland district, by R. W. Brock. 10c. 940. Graham Island. by R. W. Ells, 1905. 10c. . 949. Cascade Coal Field, by D. B. Dowling. 10c. YUKON AND MACKENZIE. 260. Yukon district, by G. M. Dawson. 1887. 30c. 295. Yukon and Mackenzie Basins, bv R. G. McConnell. 1889. 25c. 687. Klondike gold fields preliminary, by R. G. McConnell. 1900. 10c. 884. Klondike gold fields, by R. G. McConnell. 1901. 25c. 725. Great Bear Lake and region, by .1 M. Bell. 1900. 10c. 908. Windy Arm. Tagish Lake, by R. G. McConnell. 1906. 10c. 942. Peel and Wind Rivers, by Chas. Camsell. 943. Upper Stewart River, by J. Keele. \ t, , . _.,„ ..^ . ' 979. Klondike gravels, by R. G. McConnell. / ^°^^^ together. 10c. ALBERTA. 237. Central portion, by J. B. Tyrrell. 1886. 25c. 324. Peace and Athabaska Rivers district, by R. G. McConnell. 1890-91. 25c. 703. Yellowhead Pass route, by J. McEvoy. 1898. 15c. SASKATCHEWAN. 213. Cypress Hills and Wood Mountain, by R. G. McConnell. 1885. 25c. 601. Country between Athabaska Lake and Churchill River, by J. B. Tyrrell and D. B. Dowling. 1895. 15c. 868. Souris River coal-field, by D. B. Dowling. 1902. 10c. MANITOBA. 264. Duck and Riding Mountains, by J. B. T3rrrell. 1887-8. 10c. 296. Glacial Lake Agassiz, by W. Upham. 1889. 25c. 325. Northwestern portion, by J. B. Tyrrell, 1890-91. 25c. 704. Lake Winnipeg west shore, by D. B. Dowling. 1898. \tj .. ,. 705. " east shore, by J. B. Tyrrell. 1898. 25c. /^ound together. KEEWATIN AND FRANKLIN. 217. Hudson Bay and strait, by R. Bell. 1885. 15c. 238. Hudson Bay, south of, by A. P. Low. 1886. 10c. 239. Attawapiskat and Albany Rivers, by R. Bell. 1886. 15c. 244. Northern portion of the Dominion, by G. M. Dawson. 1886. 20c. 578. Berens River Basin, by D. B. DowHng. 1894. 15c. 618. Northern Keewatin, by J. B. Tyrrell. 1896. 30c.. 787. Grass River region, by J. B. Tyrrell and D. B. Dowling. 1900. 25c. 815. Ekwan River and Sutton Lakes, by D. B. Dowling. 1901. 15c. 905. The Cruise of the Neptune, by A. P. Low. 1905. $ ONTARIO. 215. Lake of the Woods region, by A. C. Lawson. 1885. 25c. 265. Rainy Lake region, by A. C. Lawson. 1887, 25c. 266. Lake Superior, mines and mining, by E. D. Ingall. 1888. 25c, 326. Sudbury mining district, by R. Bell. 1890-91. 20c. 327. Hunter island, by W. H. Smith. 1890-91. 20c. 332. Natural Gas and Petroleum, by H. P. H. Brumell. 1890-91. 25c. 357. Victoria, Peterborough and Hastings counties, by F. D, Adams. 1892-93. 10c. 627. On the French River sheet, by R. Bell. 1896. 10c. 678. Seine River and Lake Shebandowan map-sheets, by W. Mclnnes. 1897. 20c. 672. Nipissing and Timiskaming map-sheets, by A. E, Barlow. 1896, In Vol. X. 80e. 723. Iron deposits along Kingston and Pembroke Ry,, by E. D. Ingall. 1900. 25c. 739. Carleton, Russell and Prescott counties, by R, W. Ells. 1899 25c.See No, 739 Quebec. 741, Ottawa and vicinitv, by R, W. Ells. 1900. 15c. 790. Perth sheet, by R. W. Ells. 1900. 10c. 873. Sudbury Nickel and Copper deposits, by A, E. Barlow. In Vol. XIV. 80c. 977. Report on Pembroke sheet, Ont., by R. W. Ells. 10c. 961. Reprint of No. 873, 962. " " 672, QUEBEC. 216. Mistassini expedition, by A. P. Low. 1884-5. 10c, 240. Compton, Stanstead, Beauce, Richmond and Wolfe counties, by R. W. Ells. 1886. 25c. 268. Mégantic, Beauce, Dorchester, Levis, Bellechasse and Montmagny coimties, by R. W. Ells. 1887-8. 25c. 297. Mineral resources, by R. W. Ells. 1889. 25c, 328. Portneuf, Quebec and Montmagny counties, by A, P, Low. 1890-91. 15c. 579. Eastern townships, Montreal sheet, by R. W. Ells and F, D. Adams. 1894. 15c. 670. Auriferous deposits. Southeastern portion, by R. Chalmers. 1895. 20o. 591. Laurentian area north of the Island of Montreal, by F. D. Adams. 1895. 15c. 672. Timiskaming map-sheet, by A, E. Barlow. 1896. 30c. In Vol. 10. 80c. 707. Eastern townships, Three Rivers sheet, by R. W. Ells. 1898. 20c. 739. Argenteuil, Wright, Labelle and Pontiac counties, by R, W. Ells. 1899. 25c. See No. 739, Ontario. 788. Nottaway basin, by R. Bell. 1900. 15c. 863. Wells on Island of Montreal, by F. D. Adams. 1901. 30c, ©23. Chibougamou region, by A. P. Low, 1905. 10c. UNGAVA AND LABRADOR. 217. Hudson Strait and Bav, by R. Bell. 1885. 15c. 267. James Bay and east of Hudson Bay, by A, P. Low. 1887-88. 25c. ."S4. Labrador Peninsula, by A. P. Low. 1895. 30c. 657. Richmond Gulf to Ungava Bay, by A. P. Low. 1896. 10c. 680. Hudson Strait south shore and Ungava Bay, by A. P. Low. 1898. 15c. V Bound together. 713. Hudson Strait north shore, by R. Bell. 1898. 20c. J 778. Hudson Bay, east coast, by A. P. Low. 1901. 25c. 819. Nastapoka Islands, Hudson Bay, by A. P. Low. 1901. 10c. NEW BRUNSWICK AND NOVA SCOTIA. 218. Western New Brunswick and Eastern Nova Scotia, by R. W. Ells. 1885. 20c. 219. Carleton and Victoria cos., by L. W. Bailey. 1885. 20c. 242. Victoria, Restigouche and Northumberland counties, by L. W. Bailey and W. Mclnnes. 1886. 10c. 243. Guysborough, Antigonish, Pictou, Colchester and Halifax counties, by Hugh Fletcher and E. R. Faribault. 1886. 25c. 269. Northern portion and adjacent areas, by L. W. Bailey and W. Mclnnes. 1887-88. 25c. 330. Temiscouata and Rimouski counties, by L. W. Bailey and W. Mclnnes. 1890-91. 10c. 331. Pictou and Colchester counties, by H. Fletcher. 1890-91. 20c. 358. Southwestern Nova Scotia Preliminary, by L. W. Bailey. 1892-93. 10c. 628. Southwestern Nova Scotia, by L. W. Bailey. 1896. 20c. 661. Mineral resources, by L. W. Bailey. 1897. 10c. New Brunswick geology, by R. W. Ells. 1887. 10c. 797. Cambrian rocks of Cape Breton, by G. F. Matthew. 1900. 50c. 799. Carboniferous system in by L. W. Bailey. 1900. lOc.i x, i ^ ^, 803. Coal prospects in by H. 1900. 10c. J- Bound together. 871. Pictou coal field, by H. S. Poole. 1902. 10c. IN PRESS. 970. Report on Niagara Falls, by Dr. J. W. Spencer. 968. Report to accompany map of the Moose Mountain area. Alta., by D. D. Cairnes. 974. Copper Bearing Rocks of Eastern Townships, by J. A. Dresser. 10c. 980. Similkameen district, by Chas. Camsell. 10c. 982. Conrad Mining district, Yukon, by D. D. Cairnes. 10c. 988. Telkwa valley, by W. W. Leach. 10c. IN PREPARATION. Rossland district, full report, by R. W. Brock. Report on Prince Edward county, Brockville and Kingston map-sheet, by R. W. Ella. Report on Cornwall sheet, by R. W. Ells. Reports on Countrv between Lake Superior and Albany river, by W. J. Wilson and W. H. Collins. Transcontinental location between Lake Nipigon and Sturgeon lake, Ont., by W. H. Collins. Nanaimo and New Westminster districts, by O. E. LeRoy. B. — Published by the Mines Branch. On the location and examination of magnetic ore deposits by magnetometric measure- ments. Eugene Haanel. 1904. Report of the Commission appointed to investigate the different electro-thermic pro- cesses for the smelting of iron oires and the making of steel in operation in Europe. Onlv a few copies of this report are available. By Eugene Haanel. 1904. Final report on the experiments made at Sault Ste. Marie, under Government auspices, in the smelting of Canadian iron ores by the electro-thermic process. Eugene Haanel. 1907. Preliminary report on the Limestones and the Lime Industry of Manitoba. J. W Wells. 1905. Preliminary report on the raw materials, manufacture and uses of Hydraulic Cements in Manitoba. J. W. Wells. 1905. Preliminary report on the industrial value of the Clays and Shales of Manitoba. Only a few copies available. J. W. Wells. 1905. Mica, its occurrence, exploitation and uses. Fritz Cirkel. 1905. Only a few copies available. Asbestus, its occurrence, exploitation and uses. Fritz Cirkel. 1905. Report of the Commission appointed to investigate the Zinc Resources of British Columbia and the conditions affecting their exploitation. W. R. Ingalls. 1905. Report on the present and prospective output of the Mines of the Silver-Cobalt orea of the Cobalt District. Eugene Haanel. 1907. Report on the Mining Conditions of The Klondike, Yukon. Eugene Haanel, 1902. IN PRESS. Monograph on Graphite. Fritz Cirkel.
Moselle Etablissement public de coopération intercommunale (EPCI) Communauté de communes du Pays Orne Moselle. Code postal (CP) 57535. Code Insee. 57443. Nom des habitants de Marange-Silvange Une route est une voie terrestre aménagée pour la circulation de véhicules à roues et à moteur. Le réseau routier français est tissé de différents types de routes. Quelles sont ces différentes voies de circulations ? Comment les reconnaître et les différencier ? Quelles sont leurs règles de circulation signalisation, limitation de vitesse, usagers autorisés ? Voici les différents types de routes et voies de circulation 1. Routes à chaussées séparées 2. Autoroute 3. Route à accès réglementé 4. Route nationale 5. Route départementale 6. Route communale 7. Routes européennes 1. Routes à chaussées séparées Ce sont des routes dont les deux sens de circulation sont physiquement séparés par une barrière ou un terre-plein et pas seulement par une ligne blanche Les voies à chaussées séparées ne sont donc pas un type de route, mais une manière d’aménager une route. Cet aménagement peut être fait sur les différentes routes autoroutes, voies rapides, nationales, etc. Les règles de circulation des voies à chaussées séparées Les règles de circulation sont celles du type de route emprunté autoroute, départementale, nationale, etc. De toute évidence, certaines manœuvres sont impossibles sur ces voies, quel que soit le type de route faire demi-tour par exemple, car le terre-plein central empêche d'accéder à l’autre sens de circulation. les limitations de vitesse sont de 110 km/h pour les conducteurs confirmés et 100 km/h pour les jeunes conducteurs. Certaines routes à chaussées séparées sont limitées à 90 km/h pour des raison de sécurité. C'est le cas des départementales séparées par un terre plein central. Dans ce cas qui déroge à la règle générale, la limite sera indiquée par un panneau. La différence entre une autoroute et une route à chaussées séparées ? L’autoroute est un type de route, alors qu'une route à chaussées séparées est une manière d'aménager les voies de circulation. Une autoroute est nécessairement à chaussées séparées, mais elle n'est pas la seule. Les autres types de routes peuvent également avoir une séparation physique entre leurs 2 sens de circulation. 2. Autoroute L’autoroute est une voie de communication à chaussées séparées réservée à la circulation rapide des véhicules motorisés voitures, motos et poids lourds. En France, les réseaux d’autoroutes sont d’environ 12 000 km, dont 9 048 km à péage. On compte une moyenne de 28 500 usagers par jour en comptant les véhicules de tourisme et les poids lourds. La plupart des tronçons d’autoroutes sont payants. Le tissu autoroutier dispose d’aires de repos proposant aux automobilistes des espaces de parking, des stations essence, de la restauration et des sanitaires. La direction vers une autoroute est signalée à plusieurs reprises par des panneaux de direction à fond bleu indiquant le numéro de l'autoroute et les villes vers lesquelles elles mènent. Puis les signalisations et aménagements successifs vous donneront les indices nécessaires L’entrée sur une autoroute est signalée par un panneau carré bleu avec deux voies représentées par deux traits blancs épais et un trait blanc passant par dessus. L’entrée et la sortie d’autoroute se font par des bretelles d’accès Chaque chaussée est composée de plusieurs voies de circulation et d’une Bande d’Arrêt d’Urgence BAU. Les voies de sens contraires sont séparées par un terre-plein central. Tous les 2 000 mètres vous trouverez des bornes d’appel d’urgence. Des aires de repos sont annoncées par des panneaux réguliers qui indiquent la distance à parcourir avant de les trouver. Quelles sont les règles de circulation sur l'autoroute ? Les véhicules lents - piétons, vélos, scooters et tracteurs - sont interdits de circulation sur les autoroutes. L’arrêt, le stationnement, le demi-tour et la marche arrière sont interdits sur l’autoroute. La vitesse y est limitée à 130 km/h pour les conducteurs confirmés lorsque les conditions de circulation sont normales. Elle est abaissée à 110 km/h en cas d’intempéries pluie, précipitations, neige… et pour les jeunes conducteurs. Elle descend à 50 km/h lorsque la visibilité est inférieure à 50 mètres. Il est aussi interdit de rouler en-dessous de 80km/h sur la voie de gauche de l’autoroute si les conditions de circulation sont fluides. À l’approche des grandes villes ou lors de passages délicats enchainement de virages dangereux par exemple, la vitesse peut être abaissée à 110 km/h ou à 90 km/h. Il est interdit de stationner sur la bande d’arrêt d’urgence autrement qu’en cas de panne, d’accident ou de malaise. 3. Route à accès réglementé La route à accès réglementé est une voie de circulation dont l'accès est restreinte à certains usagers, comme pour l'autoroute. Elle s'apparente souvent à une voie rapide ou express. Elle peut être à double sens ou à chaussées séparées. Elles sont annoncées par un panneau de forme carré à fond bleu comprenant l’idéogramme d’une voiture. Quelles sont les règles de circulation sur ces routes ? Comme sur les autoroutes, les voies rapides sont interdites à tout usager ou véhicule lent piétons, animaux, cyclistes, véhicules agricoles, voiturette… Comme sur l’autoroute, certaines manœuvres y sont interdites faire demi-tour, reculer ou stationner sur le bas-côté. la vitesse maximale autorisée 110 km/h en temps normal, 100 km/h par temps de pluie et 50 km/h lorsque la visibilité est inférieure à 50 m. Certaines voies rapides sont soumises à des limitations de vitesse différentes. Elles seront indiquées par un panneau. C’est le cas du périphérique parisien qui est limité à 70 m/h. Quelle est la différence entre une autoroute et une route à accès réglementé ? Ces routes ont beaucoup d’éléments en commun avec les autoroutes. Il faut absolument connaître la différence entre ces deux types de voies de circulation Sur une route à accès réglementé on peut trouver des intersections ainsi que des carrefours giratoires ou des ronds-points. Les routes à accès réglementé peuvent être à double sens. les routes rapides sont gratuites. Attention une autoroute peut parfois se transformer en voie rapide. C’est le cas lorsque l’autoroute se termine à l’approche d’une ville. Dans ce cas, vous verrez le panneau de fin d’autoroute puis celui d’entrée dans la voie rapide. N’oubliez pas de réduire votre vitesse à 110 km/h. 4. Route nationale Les routes nationales sont des routes secondaires qui traversent de longues portions du territoire français contrairement aux routes communales ou départementales. Ces routes ont parfois pour fonction de contourner les agglomérations. Elles sont numérotées de N1 à N9463 et représentent en 2004, 30 000 km de parcours. Elles sont indiquées par des cartouches de signalisation de couleur rouge où est inscrite la lettre N suivie du numéro de la nationale. Elles sont jalonnées par des bornes kilométriques blanches avec un sommet rouge où est inscrit la lettre N suivie du numéro de la nationale. Quelles sont les règles de circulation sur ces routes ? Tous les types de véhicules sont acceptés sur les routes nationales Toutes les manœuvres y sont autorisées faire demi-tour, stationner, reculer… à moins qu’une signalisation le précise. C’est souvent le cas sur des parties dangereuses où le manque de visibilité empêche de manœuvrer. Sur les routes nationales, la vitesse est limitée à 80 km/h, comme toutes les routes à double sens sans séparateur central. Il arrive que la vitesse soit limitée à 70 km/h pour des raisons de sécurité, dans ce cas, elle est indiquée par un panneau. 5. Route départementale Les routes départementales, comme leur nom l’indique, sont gérées par les départements. Elles créent des liaisons au niveau local et régional et peuvent déboucher sur des routes nationales, communales ou des chemins ruraux. La longueur de réseau routier départemental français s’étend sur environ 378 000 km soit 36 % du réseau routier national. Les routes départementales sont considérées comme les plus mortelles de l’ensemble du réseau routier avec 2/3 des décès routiers. Elles sont indiquées par des cartouches de signalisation de couleur jaune où sont inscrits la lettre D et le numéro de la départementale. Elles sont également jalonnées par des bornes kilométriques blanches avec un sommet jaune où est inscrite la lettre D et le numéro de la départementale. Quelles sont les règles de circulation sur une départementale ? L’accès à ces routes est gratuit et tous les types de véhicules y sont acceptés. La circulation peut être limitée pour certains types de véhicules encombrants sur des portions de routes étroites. Depuis 2018, la vitesse y est limitée à 80 km/h afin de réduire le taux d’accident routier. Il existe des exceptions à la limitation de vitesse ** lorsque les 2 sens de circulation sont séparés par un terre-plein central, la départementale est généralement limitée à 90 km/h. ** d’autres zones sont limitées à 70 km/h ou 50 km/h à l’approche de carrefour giratoire ou d’un pont par exemple. 6. Route communale Les routes communales sont gérées par la commune. Elles desservent les principaux lieux de vie, d’activité économique et touristique de la commune et relient les routes départementales entre elles. Quelles sont les spécificités d’une route communale ? Elles portent des noms signalés par des panneaux d'indication au début de la route. La vitesse en agglomération est limitée à 50 km/h, mais la commune peut décider d’abaisser cette limite, en instaurant des zones à 30 km/h par exemple. Il faut réduire sa vitesse et rester attentif, car ce sont sur ces voies que l’on retrouve le plus d’usagers fragiles enfants, personnes âgées, cyclistes, scooter, etc.. Attention aux départementales qui traversent une commune vous devez réduire votre vitesse à 50 km/h dès que vous voyez le panneau indiquant l'entrée dans la commune. Si la limite est abaissée à 30km/h, un panneau vous l'indiquera. 7. Routes-européennes Les routes européennes tissent un réseau routier européen depuis 1975, suite à un accord signé à Genève concernant les artères internationales principales du trafic AGR. Le réseau routier européen contient différents types de routes les autoroutes, les routes expresses et les routes ordinaires. Elles doivent être équipées de bornes d’appel d’urgence et être clôturées afin d'éviter le passage d’animaux. Les routes européennes sont désignées par des panonceaux et des cartouches situés au-dessus des panneaux de directions. Ces cartouches sont vertes et contiennent la lettre E suivie d’un numéro. Elles ont leur propre numérotation et reste la même d’un pays à l’autre. Les routes reliant l’Ouest à l’Est portent des numéros pairs et les routes nord-sud, des numéros impairs. La signalisation et les éléments d’informations sont le plus possible non littéraux usage de symboles et de caractères normalisés afin d’être compris par tous les usagers, quelle que soit leur origine. Quelles règles de circulation y sont appliquées ? Vous devez respecter les législations du Code de la route en vigueur dans le pays que vous traversez. La signalisation, les règles de circulation et les limitations de vitesse des routes européennes diffèrent selon les pays, même si la numérotation des routes est la même. Ici on comprend mois ce qu’il se passe, et pas d’infos trouvées sur le web et wiki après une rapide recherche sur l’histoire des boulevards lyonnais. Sans doute datent ils d’une époque postérieure. On sent des raisons purement urbanistiques à l’établissement de ces boulevards : grands axes de communication reliant différentes parties de la ville éloignées lesVoici la réponse à la question de CodyCross - Aussi appelée étoile filante. Si vous avez besoin d'aide ou avez des questions, laissez votre commentaire ci-dessous. Home Transports Groupe 111 Phase 1 Répondre Film où deux des Inconnus arrêtent de fumer Film où deux des Inconnus arrêtent de fumer Répondre Lepari CodyCross CodyCross est un jeu récemment sorti développé par Fanatee. C’est un jeu de mots croisés qui contient de nombreux mots amusants, séparés en différents mondes et groupes. Chaque monde a plus de 20 groupes avec 5 puzzles chacun. Certains des mondes sont la planète Terre, sous la mer, les inventions, les saisons, le cirque, les transports et les arts culinaires.
Uneécluse est une section de la voie navigable dont le niveau peut être ajusté soit plus haut, soit plus bas, en fonction de la section qui la suit. La construction a nécessité une inondation considérable des zones habitées, et environ 6 500 personnes, principalement des Canadiens, ont été relogées dans de nouvelles villes.En plus d’améliorer la navigation, la voie maritime a WordReference English-French Dictionary © 2022Principales traductionsFrançaisAnglais boulevard nm avenue, grande rueboulevard n Les boulevards des maréchaux entourent Paris. The Boulevards of the Marshals encircle Paris. WordReference English-French Dictionary © 2022Formes composéesFrançaisAnglais boulevard périphérique nm voie rapide qui contourne une ville UKring road, bypass n UKorbital road n USbelt, beltway n On ira plus vite en empruntant le boulevard périphérique. comédie de boulevard nf comédie populaire UKboulevard theatre n USboulevard theater n 'boulevard' également trouvé dans ces entrées Dans la description française AnglaisDansun billet de blog, Yann LeCun, scientifique en chef de l’IA chez Facebook, affirme que l’apprentissage auto-supervisé est “l’un des moyens les plus prometteurs pour construire [des] connaissances d’arrière-plan et se rapprocher d’une forme de bon sens chez les systèmes d’IA”. Ce bon sens, “matière noire de l
Le prolongement de la rocade Arc-en-Ciel à Toulouse est toujours d'actualité mais il ne se fera pas par l'endroit qui était le plus évoqué. Les explications. Par David Saint-Sernin Publié le 11 Juil 18 à 715 Un projet de prolongement de la rocade Arc-en-Ciel, limitée à 90km/h depuis fin 2017, existe mais il ne passera pas par le boulevard Eisenhower qui était régulièrement cité ©Image d’illustrationLe prolongement de la rocade Arc-en-Ciel est un projet dans les cartons depuis des années à Toulouse. A l’origine, la rocade Arc-en-Ciel était d’ailleurs prévue pour contourner Toulouse au sud via un grand tunnel sous Pech-David. Sauf que ce projet titanesque n’a jamais vu le actuellement, les automobilistes qui descendent depuis Colomiers par cette rocade viennent butter » sur l’immense rond-point de la route de Saint-Simon. A partir de ce rond-point, ils doivent emprunter l’avenue Eisenhower qui rejoint l’autoroute de Tarbes A64 via un tracé de trois kilomètres. Voie rapide urbaine » contre boulevard urbain multimodal » Depuis 2015, c’est cette avenue Eisenhower qui était la plus régulièrement citée pour devenir le prolongement naturel de la rocade Arc-en-Ciel. Nous achèverons la rocade Arc-en-Ciel par transformation en Voie Rapide Urbaine du boulevard Eisenhower » proposait Jean-Luc Moudenc lors de la campagne des municipales de à son élection au Capitole, depuis 2015, deux hypothèses étaient l’objet d’études. Dans le premier cas, l’avenue Eisenhower devenait une voie rapide en 2×2 voies avec une vitesse limitée à 90 km/h. Dans le deuxième cas, ce boulevard était réaménagé en boulevard urbain multimodal avec une vitesse limitée à 50 km/h, avec aménagement de couloirs de bus et d’itinéraires que Toulouse Métropole débute en juillet 2018 des travaux, sur l’avenue Eisenhower, pour créer un nouveau carrefour devant le siège de la société Capgemini, c’est l’option du boulevard urbain multimodal qui va finalement être pas créer une nouvelle coupure imperméable entre les quartiersDéfinitivement, la Métropole ne souhaite plus créer une frontière physique entre les quartiers du sud-ouest de Toulouse. Par ailleurs, la Métropole n’a pas souhaité casser les dynamique économiques de certaines entreprises installées le long du boulevard en utilisant du foncier libre pour ce projet de voie périmètre qui pourrait aussi à l’avenir accueillir un prolongement du téléphérique urbain entre l’Oncopole et le terminus de la ligne A à Basso-Cambo. Si ce projet n’est pas financé, il existe bel et bien et un périmètre sur lequel les terrains sont gelés le long de l’avenue en ce moment sur ActuMieux insérer l’avenue dans les quartiers limitrophesDepuis 2015, les équipes techniques de la Métropole, ont notamment regardé les possibilités foncières qui restent pour aménager ce corridor de l’avenue Eisenhower et ont travaillé sur différents ronds-points et voieries d’accès à réaliser. Plusieurs zones ont été listées avec dans chacun d’entre-elles les problèmes à résoudre pour fluidifier le trafic dans les quartiers environnants et mieux insérer l’avenue dans son environnement ingénieurs sont donc en train de formaliser un projet qui retranscrira cette volonté et permettra d’améliorer la desserte locale des quartiers et des entreprises de la zone industrielle sans pour autant créer une autoroute urbaine ».Le carrefour créé en cet été 2018 au niveau de la société Capgemini prend en compte ses études et anticipera les futurs aménagements à réaliser sur le boulevard dans le cadre de la philosophie ou le carrefour va être créé lors de l’été 2018 sur l’avenue Eisenhower à Toulouse La rocade Arc-en-Ciel prolongée vers CugnauxEcarter l’hypothèse d’un prolongement de la rocade Arc-en-Ciel en voie rapide, via l’avenue Eisenhower, ne signifie pas pour autant que ce prolongement n’aura pas lieu sud-ouest de l’agglomération, la Métropole étudie en effet depuis plusieurs mois un prolongement de la voie du canal Saint-Martory sur la commune de Cugnaux et en direction de du sud-ouest la continuité de la voie existante qui se termine avant la ville de Cugnaux, l’idée est de créer une déviation de cette commune. Un périmètre d’étude a déjà été instauré depuis plusieurs mois. Il doit permettre de geler le développement urbain sur le seul couloir sans habitation encore disponible pour faire passer une telle infrastructure qui irait ensuite se connecter à l’A 64 au sud de projet d’études croiséesLes contours de ce prolongement restent flous et font sans doute l’objet de discussions dans le cadre du Plan d’Aménagement Routier Métropolitain PARM, plan qui vise à déterminer les aménagements routiers prioritaires pour l’agglomération projet est tellement considéré comme prioritaire qu’il figure également dans les 14 gros projets qui font l’objet de nouvelles études pour améliorer les mobilités à Toulouse », lancées en mai 2018, dans le cadre d’une démarche commune entre les collectivités locales sous l’égide de l’ très vieux projet jamais concrétisé en totalitéLe projet de la voie du canal Saint-Martory est un très vieux projet qui n’a jamais pu aboutir dans sa totalité. Dès la fin des années 2000, il était question de la création d’un boulevard urbain en 2X2 voies avec des voies réservées aux bus. Mais l’idée de créer une autoroute urbaine » dans des zones périurbaines avait suscité à l’époque de fortes réserves chez les l’heure, aucune information n’a filtré sur les caractéristiques du projet tel qu’il est envisagé en 2018. Maillon vers un contournement ouest de Toulouse?Un projet qui prolongerait donc la rocade Arc-en-Ciel et constituerait potentiellement un maillon essentiel d’un contournement ouest de Toulouse, depuis l’A 62 au nord de la Ville Rose jusqu’à l’A64 au sud, via la Voie Lactée de Blagnac puis la rocade contournement évoqué à de multiples reprises ces derniers mois par le président de Toulouse Métropole, Jean-Luc Moudenc, mais qui nécessite encore la création d’un pont sur la Garonne au nord de Toulouse, le prolongement de la Voie Lactée au nord de Blagnac vers ce pont et donc la réalisation du prolongement de la voie du canal Saint-Martory au sud de Toulouse. Un projet qui pourrait délester une partie du trafic circulant chaque jour entre le péage de Toulouse Nord et l’échangeur de Langlade sur le périphérique de article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Actu Toulouse dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites. Etymologieet origine Voie : du latin via, « voie » qui désigne un espace à parcourir pour aller quelque part. Tout espace du domaine public destiné à la circulation dans la ville. Urbaine : du latin urbanus, « de la ville ». Voies urbaines : des voies à l'intérieur d'une agglomération (rue, avenue, boulevard, etc.) Partie d'une route de la largeur d'un véhicule ex : Route à trois Joined Nov 7, 2011 220 Posts Peut être le projet concerne juste certaines portions de périph entre 2 échangeurs par ci-par là et à des endroits ou cette fameuse bande d'urgence peut être élargie !? Les lignes BHNS se branchent ensuite sur les pénétrantes urbaines ou vers les banlieues pour faire le lien avec d'autres lignes TCSP ou pour revenir sur le périph sur une portion plus loin entre 2 autres échangeurs ... etc etc. C'est une hypothèse "interrogative" biensur. Et pourquoi pas, chez nous ça donne cela, une fois les travaux d'élargissement effectué sur la BAU... Joined Jan 4, 2006 11,725 Posts Oui mais combien d'echangeurs sont impactés? Joined Nov 7, 2011 220 Posts Oui mais combien d'echangeurs sont impactés? Dans le cadre de la VSP voie spécialisée partagée, actuellement seules trois échangeurs distants de 10 km sont impactés, entre une barrière de péage et un accès à la Presqu'ile Scientifique. D'ailleurs on ne parle plus de BHNS mais plutôt de CHNS cars ou de THNS transports dans le cadre d'une autoroute en entrée de ville/rocade/périphérique limité à 90km/h en période fluide; plusieurs villes semblent séduites pas ce type de concept. " Les CHNS, extension du concept BHNS sur les territoires périurbain " Joined Jan 4, 2006 11,725 Posts Le périphérique toulousain c'est plus d'une vingtaine d'échangeurs sur les 35 km de périph. Il faudrait élargir en dessous des ponts des échangeurs pour éviter de perturber la circulation sur les entrées et sorties du périph. Joined Dec 17, 2010 790 Posts Joined Jan 4, 2006 11,725 Posts L'emprise est large pour une 2x3 voies. Sur l'emprise la plus à droite des travaux, ils prévoient le terrassement pour la voirie qui contourne Montaudran Aérospace et qui sera parallèle au pérph. Joined Jan 4, 2006 11,725 Posts Des 2 côtés du périph Nord-Est entre l'échangeur de l'Union et l'échangeur des Izards, ils ont rasé tous les arbres et végétation. Le chantier concernant la mise à 2x4 voies intercroisement entre les 2 échangeurs va t-il bientôt commencer ? Joined Jan 4, 2006 11,725 Posts opportunité d'un second contournement Seconde rocade 3,1 milliards pour l’hypothèse médiane Le candidat UMP veut relancer le projet de contournement autoroutier pour réduire les embouteillages sur le périphérique, un projet abandonné durant le précédent quinquennat devant l’opposition de la municipalité. Le financement se ferait via un péage. En se basant sur une rocade de 63 km, l’institut Montaigne estime son coût entre 378 millions et 5,9 milliards , avec une hypothèse médiane à 3,1 milliard. L’équilibre économique, non précisé par le candidat, n’a pas pu être chiffré. Joined Jan 4, 2006 11,725 Posts L'Autoroute Toulouse-Castres vers une concession au privé ? Ca tombe bien car la partie A680 entre l'A 68 et Verfeil peut aussi servir en partie au projet de contournement autoroutier de l'Agglo toulousaine par l'Est. Comme le projet souhaité par Moudenc en rappel des études et enquête de 2007 serait en concession au privé également ... Joined Jan 22, 2012 189 Posts L'Autoroute Toulouse-Castres vers une concession au privé ? Ca tombe bien car la partie A680 entre l'A 68 et Verfeil peut aussi servir en partie au projet de contournement autoroutier de l'Agglo toulousaine par l'Est. Comme le projet souhaité par Moudenc en rappel des études et enquête de 2007 serait en concession au privé également ... Franchement y'en a ras la casquette ! C'est l'Etat qui finance les autoroutes ! Certains parkings aussi ! Pourquoi cédons-nous donc l'exploitation à des groupes privés ? Quel est l’intérêt de l'Etat ? La concurrence ? Ha ha... Sans rire ! Ces infrastructure sont rentables ! S'il faut faire participer le contribuable qui a déjà financé la construction de ces infrastructures, l'Etat, via des société publique peut s'en charger, avec des forfaits raisonnables ! Toutes ces politiques ultra libérales sont des non-sens économiques pour la communauté...hno Saluons Vinci au passage tiens... Joined Jan 4, 2006 11,725 Posts Peut être mais en attendant, si on attend après l'Etat, on a rien! De plus, je préfère que cette autoroute et cet éventuel portion de contournement soient financés par les véhicules qui circulent dessus plutôt que par mes impôts alors que je n'y circulerai pratiquement jamais. Joined May 19, 2011 4,222 Posts En se basant sur une rocade de 63 km, l’institut Montaigne estime son coût entre 378 millions et 5,9 milliards , avec une hypothèse médiane à 3,1 milliard. Avec un tel écart entre l'hypothèse basse et l'hypothèse haute, on se demande si l'institut Montaigne est fondé à prétendre juger la pertinence de ce projet. Autant ne rien dire. Joined Mar 8, 2014 128 Posts L'Autoroute Toulouse-Castres vers une concession au privé ? Ca tombe bien car la partie A680 entre l'A 68 et Verfeil peut aussi servir en partie au projet de contournement autoroutier de l'Agglo toulousaine par l'Est. Vous avez raison, YOUHOU, génial !!! Encore une autoroute payante... Pauvre de nous, nous sommes aveuglés par l'ultra-libéralisme... Et je vais vous dire une chose, un vrai scoop, c'est que le deuxième contournement de Toulouse ne se fera pas et vous le savez très bien. Soyez réalistes un peu. Je ne parle pas de la réalité de la route bouchons et accidents tous les jours mais de la réalité sociétale et urbaine. Trop de personnes se situent sur le potentiel tracé, et les gens n'accepteront pas de déménager au nom du "progrès", comme dans les années 60, 70, car ils savent que le transport routier n'est plus le progrès ! Le progrès, c'est le ferroutage, c'est le covoiturage, ce sont les transports en commun urbains, mais aussi interurbains, le progrès ce sont les visioconférences, le travail à domicile pour ceux qui le peuvent... C'est ça le progrès, et ce n'est pas faire passer une 2x3 voies dans la campagne pour voir passer 20 000 malheureux véhicules par jour sur les 220 000 qui empruntent le périph quotidiennement, et où on se dira" ah ben y'a toujours les bouchons sur le périph, et l'étalement urbain s'est accentué, je ne comprend pas ??" Abdel31 &1587;&1604;&1575;&1605; Joined Nov 1, 2012 3,746 Posts Abdel31 &1587;&1604;&1575;&1605; Joined Nov 1, 2012 3,746 Posts ^^ Il y a du vrai dans ce que vous dites. Cela dit on ne peut pas dire que céder une autoroute soit considérée comme de l'ultra libéralisme, c'est du libéralisme tout court. Il y a débat sur ce qui doit être public ou pas. Je ne pense pas que les voies rapides doivent être à la charge de l'Etat, c'est un coût lourd pour une qualité de service qui diffère peu du privé. Ou encore là où le manque de concurrence se fait sentir sur le porte monnaie cf chemins de fer. Au contraire un service comme les transports urbains est je trouve plus adapté à être à la charge des fonctionnaires, un réseau anarchique n'est pas bénéfique pour les usagers et une cession à un groupe privé ne l'est pas pour les employés ça reste mon avis voir les usagers si seul la rentabilité maximum est recherchée. Bref c'est HS... Joined Jan 4, 2006 11,725 Posts Vous avez raison, YOUHOU, génial !!! Encore une autoroute payante... Pauvre de nous, nous sommes aveuglés par l'ultra-libéralisme... Et je vais vous dire une chose, un vrai scoop, c'est que le deuxième contournement de Toulouse ne se fera pas et vous le savez très bien. Soyez réalistes un peu. Je ne parle pas de la réalité de la route bouchons et accidents tous les jours mais de la réalité sociétale et urbaine. Trop de personnes se situent sur le potentiel tracé, et les gens n'accepteront pas de déménager au nom du "progrès", comme dans les années 60, 70, car ils savent que le transport routier n'est plus le progrès ! Le progrès, c'est le ferroutage, c'est le covoiturage, ce sont les transports en commun urbains, mais aussi interurbains, le progrès ce sont les visioconférences, le travail à domicile pour ceux qui le peuvent... C'est ça le progrès, et ce n'est pas faire passer une 2x3 voies dans la campagne pour voir passer 20 000 malheureux véhicules par jour sur les 220 000 qui empruntent le périph quotidiennement, et où on se dira" ah ben y'a toujours les bouchons sur le périph, et l'étalement urbain s'est accentué, je ne comprend pas ??" Perso je ne rentre pas dans ce débat d'idées stérile qui ne fait rien avancer. Toulouse à besoin d'infrastructures et surtout pas de ce style de debat. Joined Mar 8, 2014 128 Posts Perso je ne rentre pas dans ce débat d'idées stérile qui ne fait rien avancer. Toulouse à besoin d'infrastructures et surtout pas de ce style de debat. Ah, ben un forum sans débat, ça va pas être marrant alors... Il faut que tout le monde soit d'accord ? Parce que ce n'est pas la réalité sur le terrain, ça serait trop simple... Selon vous, qu'est ce qui est stérile dans ce que j'ai dit ? Et débattons ensuite dessus ! C'est ça l'intêret d'un forum, non ? Les idées des autres sont stériles, mais pas les vôtres... ça c'est marrant par contre ^^ Joined Sep 2, 2011 5,085 Posts Perso je ne rentre pas dans ce débat d'idées stérile qui ne fait rien avancer. Toulouse à besoin d'infrastructures et surtout pas de ce style de debat. Pour le coup c'est surtout Castres qui a besoin de cette infrastructure. Par contre, pour ton message précédent, je le trouve super sympa pour les castrais qui ont aussi payé pour les routes sur lesquelles tu circules et eux non... Joined Nov 14, 2011 7 Posts Discussion Starter 79 Mar 14, 2014 Il serait logique de conceder jusqu'à Puylaurens, en prolongement de Gragnague / Verfeil, comme cela les deviations de Puylaurens et Soual déjà payées avec argent public pourraient rester accessibles. Joined Jan 21, 2007 12,995 Posts Et comme d'hab, ce sont les automobilistes du 31 qui vont payer le plus cher au km sur le même principe que l'A68 jusqu'à Albi. Le péage est aux portes de Toulouse et le prix est le même qu'on fasse 13km ou 60. Ceci dit, s'il faut en arriver là pour qu'il y ait enfin une voie rapide 2x2 voies reliant Castres-Mazamet et son bassin de population de 100 000 habitants à la métropole toulousaine, à partir d'un moment il faut bien trancher et accélérer le processus , sinon c'est pour dans 20 ans au lieu de 7. Translationsin context of "qui contourne" in French-English from Reverso Context: Une marche dans une vallée qui contourne le Manaslu. français arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois anglais Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liés à votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liés à votre recherche Cessons de contourner autour la question, est-ce que nous devons? Plus de résultats Le contournement autour de ses quatre phares était relativement subtil, avec des petits pics sur chacun, et sa façade fut légèrement inclinée vers l'avant. Contouring around its four lamps was relatively subtle, with small peaks over each, and its flat frontage sloped forward slightly. Dans le cadre du développement ou de la réfection du réseau routier fédéral, on prévoit de construire des voies de contournement autour des grandes localités 300000 habitants et plus. There are plans, as the Federal roads network is constructed and rebuilt, to build bypasses around large towns 300,000 inhabitants and more. C'est pourquoi, en plus d'améliorer les paramètres des tronçons existants, une attention sera accordée à la construction de voies de contournement autour des villes et des villages dans les endroits où cela sera jugé utile. Therefore, in addition to improving the parameters of the existing sections, attention will be paid to building ring roads around towns and villages in places where this is deemed worthwhile. l'invention concerne des dispositifs portatifs utilisés pour installer rapidement des gaines de protection contre le contournement autour d'un équipement et des lignes électriques sous tension hand-held devices that can be used to quickly install flashover protection covers around energized electrical conductors and equipment are provided Construction de voies de contournement autour des villes dans le cadre de la construction de la Via Baltica. Construction of town bypasses as a part of the construction of the Via Baltica. Construction d'une route de contournement autour de Novorossysk suivant les normes pour les routes de catégorie II 15 km Rostov na Donu-Krasnodar-Novorossiisk Construction of a 15-km bypass around Novorossiisk to category II specifications Construire des routes de contournement autour des grandes villes et à tous les autres endroits du réseau où cela est nécessaire. build bypasses in big cities and in sensitive points of the national road network. Il y a trois voies de contournement autour de Munich l'A99, le Mittlerer Ring et l'Altstadtring. There are three ring roads around the city the A99, the Mittlerer Ring, and the Altstadtring. Elle me contourne autour de moi. De même si le pétiole arrive au contact avec un rameau, il se contourne autour en portant avec lui la vrille qui saisit alors son propre pétiole ou celui de la feuille opposée. In like manner, if the petiole comes into contact with a twig, it bends round, carrying the tendril, which then seizes its own petiole or that of the opposite leaf. Modernisation de l'infrastructure routière, notamment par l'aménagement de voies de contournement autour des grandes villes, de raccordements à divers niveaux, accroissement de la capacité de transport du réseau des rues et de routes urbaines Modernization of the road system, including construction of bypasses for cities and of multi-level junctions, and increasing of the capacity of urban street and road networks Les bulldozers ont nivelé de vastes étendues de terres agricoles pour faire place à des zones tampons le long des routes de contournement et autour des colonies. The creation of buffer zones for bypass roads and settlements has resulted in the "sweeping" of large areas of agricultural land by bulldozers. Construction d'un contournement autoroutier autour de Rabat et élargissement de l'autoroute de Rabat-Casablanca Construction of Rabat motorway bypass and widening of Rabat-Casablanca motorway Les contourner comme une rivière autour d'un rocher. Une voie de contournement est en construction autour de la localité de Jelgava. A bypass is being constructed around the town of Jelgava. Les résidents de Lac-Mégantic ont demandé la construction d'une voie de contournement ferroviaire autour de la ville pour les trains qui transportent des matières dangereuses, mais les gouvernements fédéral et du Québec ont été lents à agir. Lac-Megantic residents have demanded a rail bypass around the town be constructed for trains carrying hazardous materials, but the federal and Quebec governments have been slow to act. Cette démocratisation est un processus à la fois spatial construction de nouveaux espaces, technique contournements créatifs autour d'équipements, social création de réseaux/laboratoires accessibles et politique. The article shows that this democratization is a process that is at once spatial construction of new spaces, technical creative workarounds equipment, social establishment of accessible networks/laboratories and political. L'effet de gonflement de FilmoraPro contourne une image autour d'un point spécifié et crée l'illusion d'une forme bombée traversant le calque. FilmoraPro's Bulge effect warps an image around a specified point and creates the illusion of a bulging shape pushing through the layer. Des voies de contournement ont été construites autour des principales villes et agglomérations, ce qui a permis de rendre la circulation plus rapide et de réduire le trafic dans les zones résidentielles. Bypass roads have been built next to many towns and cities, ensuring faster traffic and reducing the burden on residential areas. Aucun résultat pour cette recherche. Résultats 124. Exacts 1. Temps écoulé 581 ms. Documents Solutions entreprise Conjugaison Synonymes Correcteur Aide & A propos de Reverso Mots fréquents 1-300, 301-600, 601-900Expressions courtes fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200Expressions longues fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200 Cest la concrétisation d'une annonce qui avait Récemment un petit 130 sur une voie rapide limitée à 70 ou un 90 en ville route à 2voies sans séparateur (tomtom inside). +1Publié le 28/01/2010 à 1257 , mis à jour à 1534 Un automobiliste s'est engagé mercredi matin à Troyes sur une voie rapide à contresens en suivant les indications de son GPS, provoquant un accident sans gravité, a-t-on appris jeudi auprès de la police. L'automobiliste de 31 ans a emprunté dans le mauvais sens la bretelle de sortie de la rocade qui contourne Troyes et a percuté une automobile. L'homme et les deux occupants de l'autre véhicule ont été légèrement blessés dans la collision. "Il avait le nez sur son GPS qui lui indiquait de tourner à gauche et n'a pas vu la signalisation routière qui interdit de s'engager sur cette route", a expliqué à l'AFP Matthieu Bernier, le directeur départemental de la sécurité publique de l'Aube, confirmant une information du quotidien L'Est Eclair."Le GPS donne des indications mais ne dispense évidemment pas de respecter la signalisation et de regarder la route", a souligné le dernier, qui relève une augmentation du nombre d'accident dûs à une attention captée par le GPS, souligne qu'en aucun cas un conducteur ne peut échapper à sa responsabilité pénale en disant qu'il suivait son GPS.
Voierapide qui contourne une ville: rocade: Linda célèbre pour sa valise en carton: desuza: Résultats de plusieurs additions: sommes: Ad hoc, adéquat: adapte: Film où deux des Inconnus arrêtent de fumer: lepari: Couleur obtenue en mélangeant les trois primaires: marron: Songeur, méditatif: pensif : Un contrat peut être renouvelé par accord __ tacite: Félicitations, vous venezSEDEPLACER DE VILLE EN VILLE PAR LA ROUTE, EN FRANCE. Fiche de préparation (séquence) pour le niveau de CM2. L'objectif de cette séquence est "- Connaître les différents types de routes (départementales, nationales, autoroutes) - Utiliser Internet pour décrire un itinéraire par la route (mappy, via-michelin, google map) (prolongement- Travail sur
Aide LANGUE connexion s'inscrire AIDELANGUE connexion s'inscrire Actualités Groupes ressources Observatoire du cadre de vie Médiathèque des territoires Découvrir La plateforme participative Valeurs et principes Des outils au service de vos projets Rejoignez-nous ! Un financement participatif Observatoire Accueil Ressources Observatoire Rocade minière autoroute a21 19/01/2015 Marqueur par CAUE du Nord VOIRIE /AUTOROUTE /VOIE DE CONTOURNEMENT Lens / Douai / NORD / PAS DE CALAIS Description Une rocade est un axe rapide qui contourne une agglomération. La rocade minière contourne les villes de Lens 62 et Douai 59. Cette autoroute A21 est créée en 1971 pour relier l'autoroute A1 à la ville de Lens. Localisation Détails Informations Identifiant 4295 Mis en ligne par Delphine LEMANSKI Voir aussi ... Autoroute S-PASS Territoires est une plateforme collaborative et participative portée et animée par le réseau des Actualités Groupes Ressources Observatoire du cadre de vie Médiathèque des territoires Découvrir La plateforme participative Valeurs et principes Des outils au service de vos projets Rejoignez-nous ! Un financement participatif Histoire et perspectives Besoin d’aide ? Centre d'aide Contactez-nous A propos Mentions légales Charte utilisateur Données personnelles et cookies S-PASS Territoires © droits réservésEnl’absence d’une intervention rapide des autorités pour rouvrir les voies coupées, ces derniers étaient contraints de rebrousser chemin sur
Codycross - Solution Groupe 111 - Grille 1 Transports Codycross est un jeu dans lequel vous devez deviner plusieurs mots à partir de définitions qui vous sont données. Dans cet article, découvrez la solution de la grille n°1 du groupe 111 dans le monde "Transports". Dans cette grille, 12 mots sont à deviner. Définition Réponse Elles sont mauvaises ou de ProvenceherbesQuand on y est, c'est que rien ne va !panadeCavités remplies formant une boule sur la peaukystesCoups de téléphoneappelsVoie rapide qui contourne une villerocadeLinda célèbre pour sa valise en cartondesuzaRésultats de plusieurs additionssommesAd hoc, adéquatadapteFilm où deux des Inconnus arrêtent de fumerlepariCouleur obtenue en mélangeant les trois primairesmarronSongeur, méditatifpensifUn contrat peut être renouvelé par accord __tacite Félicitations, vous venez de réussir la grille n°1 du groupe 111 monde "Transports" de Codycross. Vous pouvez continuer à jouer en découvrant la solution de la grille suivante. Pour cela, cliquez sur le lien suivant Solution de la grille suivante
NB.2 : Il est possible d'atteindre le bas de ce couloir d'éboulis par une variante qui consiste à descendre intégralement la prairie sommitale du Mont-Aiguille vers le Sud, ainsi que le ressaut rocheux qui lui fait suite (sortie des voies du Pilier Sud). Au pied de ce ressaut, une bonne trace qui part sur la droite (Nord) contourne intégralement la face Sud-Ouest pour rejoindre le couloirEllessont actionnées par des systèmes hydraulique, électrique ou manuel selon le canal. Au Québec, il y a cinq voies navigables. Le premier le canal de Carillon. Il est situé à cent kilomètres de Montréal et à cent trente kilomètres d’Ottawa. Inauguré en 1833, il a permis de contourner les rapides de la rivière des Outaouais.